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PAR MoonZ
TEXTES A capella
Je pose agile, sensible trop, ce slam lèg’ pour le plaisir des sens
Ce n’est pas l’empire des sens, pas de sens unique, juste l’essence
De mon encre sur le papier plasma. Je Slame et j’aime ça, c’est l’évidence
Place aux mots, je m’efface derrière le micro, laisse ce flot et claque
La porte au nerveux aux mots anxiogènes qui se déchaine dans leur flaque
Je me drape de ma cape et frappe héroïquement le point sur la table
Fable trop Affable affamé de voir une femme sourire et craquer. L’aimer c’est agréable
Comme dans une pub pour céréales mais sans fruit sec d’un amour trop rêche
Ma place est dans cette veste entre livre pour le bus et base de texte, je crèche
Dans cette veste depuis l’heure des premiers rayons, crayons en attente de réponse
Entre les sons de la ville morose et des gens qui causent des rêves qui pionce
Au fil de la plume la rue devient Dune et le sable bercé par le ressac, devient océan
Posé entre mes écoute-cœurs je me laisse emporté par l’air c’est mon privilège
Mon ciné grandeur XXL où l’horizon se surprend lui-même quand on en fait un rêve
Mes lèvres déforment le réel, car les mots manquent pour décrire la poésie de l’instant
Les mots absent abstrait ne parlent comme les éléments dorent et font flotter maintenant
Mon esprit loin, alors qu’à l’heure ou tombe l’or du ciel, une silhouette parfumée
Sort de l’étincelante lumière qui plisse les yeux et repose la tête comme une main aimée
Aimer c’est agréable. Cette pub me revient, comme ronronnement du quotidien
Quand les gosses frôlent l’hystérie pour un ballon de foot en jouant avec un chien
Elle diaphane plaie dans le ciel sombre du jour tombant germe entre deux vieux passants
Nuage qui vagabonde en discutant empourpré par le crépuscule, de la nuit des temps
Et là au cœur de cette ville dans les cieux, la Lune ma dame opale, souligne ma rime
D’un cheese qui me défoule le cœur et me tire à elle, la Lune que je signe avec un anglicisme
Est une forme de la vie, le cercle des poètes, le cycle vu par les visionnaires, la bulle de savon
La roue de vélo et les yeux aveugles du juste qui aspire à la vérité dans ce monde sous les néons,
les grands noms à qui on somme de changer le court du temps avec une clé cassée
Parce que je vous le dis en vrai, nos mains nos yeux, nos écrits, sont des poèmes blessés
Qui nous servent à voir et tenir près de nous ce qui est autour du cœur
Quand les rires l’emportent sur les pleurs et effleure d’un regard avec vous la beauté du soir.
Merci
Quand les rires l'emportent sur les pleurs, et que la lune est pleine et ronde...très joli texte, merci à toi
(mais j'ai regretté la répétition du mot "veste")
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bon texte et puis t'as une belle voix alors profite ami
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joli texte bien écrit
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nicole je m'en suis rendu compte en réécoutant le truc... c'est pas très gracieux je l'accorde.
Voilà , dans le même genre:
http://www.youtube.com/watch?v=4JO8gqLZjJ8
J'aime beaucoup ton style.
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