Vous n'êtes pas identifié.
Les nuits profondes où je me perds, je songe à toi,
Mes yeux n’ont-ils pas assez pleuré pour nous ?
Moi, je ne sais rien de ce monde qui fait les gens autour de moi,
Je ne suis qu’une chose qui vit de connaître l’amour immense.
L’amour immense.
Qu’importe ce que penseront les autres de cette vérité...
Seul, je ne suis pas sûr que tout ceci est vraiment du sens.
Je te laisse quelques mots, mais ce n’est que des mots,
Des blessures, des coups qui aspirent à la caresse humaine.
Ma peau est une écorchure et ma tête se remplit d’angoisse.
Pourtant dans cette endroit plein d’obscurité, ton être
Je le ressens et je l’aime, comme au premier jour de ma défaite tendre.
Et toutes les victoires de ma vie ne valent pas le jour de cette bataille de l’amour
De mon orgueil vaincu par le baiser. Le baiser et
L’amour immense.
Acte de la vie. Morceau de bravoure, soupire de bonheur.
Je m’endors et coule le jour sur ma peau, et s’éloigne la peur.
L’amour me soigne.
Je retiens la fin c'est essentiel
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+1!
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Ah que j'aime te voir si posé et apaisé, ce texte le respire... La ponctuaction est là , saine et caline; la floppée de l'imaginaire reste sobre et souple, ... Y aurait il la transformation de la Moonz en Etoile diurne ?
En tout cas, chapeau bas ... l'artiste...
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Moi dès qu'on parle d'amour je fond, si en plus c'est optimiste de rien je ne répond. Haut les coeurs, le brasier est notre ascenseur. Bravo !
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