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Nouvelle version
Le Dormeur Duval
Le dormeur Duval, sur la plage à l’étal,
Dort dans un sommeil paradoxal.
Il est sous control parental.
A sa main un énorme cal,
Synonyme d’un douloureux mal.
Il rêve, de conquêtes, de graal,
Devenir le roi du bal
Et n’avoir nul égal,
Quand la marée rejoint son futal,
Il est l’heure du casse-dalle.
Réveillé, reposé, dispos, et sans rival,
C’est le climat familial idéal,
Pour une suite optimale.
Parler du prochain carnaval,
Ou il sera le féal
Du corso royal.
Le dormeur Duval
C’est fait un nom, c’est génial.
Une renommée proverbiale,
Dans un décor de carte postale.
Alors, qu’il neige à Montréal
Ou qu’il pleuve sur sa queue de cheval.
Le dormeur Duval
C’est mondial.
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lool, et en plus, il ne meurt pas à la fin!
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t'as vu c'est plutot cool
biz
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old pas si old lol
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Il pleut
Voila qu’il pleut dans ma rue, sur mon avenue,
Et puis dans mon boulevard.
Par contre dans mes ruelles, la pluie a plus de mal
Et dans mon impasse
Il pleut de guerre lasse.
Dans mon sentier, j’ai les pieds mouillés,
Dans mes allées, c’est les fleurs qui sont arrosées
Sur ma route, le bitume se refait une couleur
Il est d’un bleu gris ardoise
Je vois bien qu’elle pavoise.
En bas de chez moi, dans ma contre allée,
La pluie ne fait pas que des heureuses,
Pauvres malheureuses.
A mon rond point, la pluie virevolte sur les pares brises,
D’automobilistes qui tournent en rond.
Dans l’attente de prendre ma bretelle
Celle qui mène a mon autoroute
Qui elle me conduit, vers mes voyages.
Et quand enfin arrivé
Je prends mon chemin, mon pépin, la pluie a fait le sien.
De chez moi, derrière mes fenêtres, il pleut en continue
Alors la buée j’essuie.
Et j’aperçois sous mon porche, des amoureux,
Qui sous leur parapluie,
Regarde la vie qu’il leur tend les bras.
Je suis rassuré, sur tous mes lieux, il pleut,
La pluie ne fait rien n’à moitié
Tout le monde est sur d’en profiter.
Alors je ferme les yeux
Je ne possède plus rien, la pluie a de beaux lendemains
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C'est très joli! bonne idée d'écrire sur la pluie, mais dis lui de venir par chez moi, ici c'est pire que l'année derniere.
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je sais , la secheresse va nous joué de vilains tour, même ici c'est en deficit
biz
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Il pleut sur ma vie
Mais pris un parapluie.
L'Amour, mon arme contre la Haine,
M'aide quotidiennement. Et c'n'est pas sans peine.
Bravo frangin.
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bon frero je vois que t'as pris les devant , c'est essentiel pour ton combat
je croise les doigts
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Mauvais Sort - impro'
On se prive du bonheur
En s'enfonçant dans le malheur.
On ferme sa porte et son coeur
Par pur ésprit de rancoeur.
Je regarde cette femme que j'adore,
Qui, à côté de moi s'endore,
Celle avec qui je sors,
Qui brise le mauvais sort.
Suis-je digne d'elle ?
Ce bel arc-en-ciel ?
Son amour de miel
Que je veux éternel ?
Dernière modification par ITESS (07-04-2012 11:09:29)
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si elle est à tes côtés, c'est qu'elle te juge digne de son amour
Personne ne sait si l'amour est éternel, mais ce qui est beau dure longtemps et se construit jour apres jour
Et pour la rancoeur, je suis tout fait d'accord, il ne faut pas fermer son coeur, mais c'est quelquefois bien difficile!
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si on ne peut rien contre les coups du sort
on peut toujours chercher l'amour
car il ne demande pas , quel est ton parcours
il se donne et s'offre, jamais a tort
bien vu ton impro fréro
profite de ce qui tombe du ciel, c'est souvent l'essentiel
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Merci Nicole.
J'essaie de la conquérir chaque jour pour me monter à la hauteur.
Et ça lui plait.
Merci Frangin pour ces vers.
Ils sont justes.
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Urgence
C’est toujours dans l’urgence
Que la réponse tente sa chance
Comme si l’urgence avait la préférence
Et la réflexion, signe de décadence
Obnubilé, pressé, agité, voila les maux
Ces mots sont des couperets, quel égo
Qu’ils sont devenus courants, normaux
Pas une seconde sans, drôle de lego
Alors les battements s’accélèrent,
Course a mort, peur d’être en galère
A tous ceux qui crie leur colère
L’urgence ne dit pas, voila le nécessaire.
Elle se contente de stresser les êtres
Les ravalant au rang, d’aller paitre
Et leurs jours ont la couleur du mal-être
Façon de délimiter leur périmètre.
L’urgence aurait’ elle prit le pouvoir,
Et reléguer la clairvoyance, dans un trou noir.
Un combat ou le faire valoir
Devient la priorité pour se faire voir.
Car dans l’urgence, la manipulation
A toutes ses chances, et les contradictions
Sont aussi lisses que l’absence de solution
Rendant illusoire une suite avec opinions
Et s’il faut rendre à César, l’urgence
De vouloir conquérir toutes les influences.
Il est aussi comme le temps, l’intelligence
De vivre au diapason de ses exigences.
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C'est juste , mais c'est plus facile a dire qu'Ã faire
Biz noug
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c'est un texte clin d'oeil, pour signaler que nous sommes pas nés pour etre dans une course permanente
merci poto
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C'est clair nous ne sommes pas nés pour ça , la société nous y pousse ...
Comme pour le reste il faut résister ... Ou en succomber
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Ou alors il faut aller vivre en afrique où on dit "vous avez des montres, mais nous, nous avons le temps"
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va pour l'Afrique Nicole
biz
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merci brother
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Rimes en as
C'n'est pas une farce.
J'suis l'as
Pour être las,
A la ramasse.
Comme si j'étais sur Mars;
A cause de c'te garce.
Il faut qu'ça passe.
Je dois faire face
Devant les masses
Qui m'fracassent.
J'ressasse
Et ça m'casse.
Marre des messes basses...
Ça m'agace,
Ça m'brasse.
C'n'est pas ma tasse
De thé, bidasse.
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bien vu l'impro t'es un AS
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+1
je m'efface devant tes rimes
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Ça sonne comme des maracasses
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Tendance
C’est tendance m’assène une péronnelle excitée
Et les seins sous implants
D’ailleurs, elle sait, elle l’a lue dans un magasine
Hyper spécialisé, donc évidence.
Elle continue de se répandre
On lui a même appris à se vendre
C’est vous dire si ses conseils sont formels.
Et pour l’argumentaire, le superlatif fait l’affaire
Il est partie intégrante, de la comm délirante.
Donc récurrence.
De tendance je n’attache pas trop d’importance,
Me méfiant de ces messes branchées
Lieux ou l’insignifiance est notoire
Et l’auditoire si dérisoire.
Mais même en évitant ce marigot
Pas moyen d’y échapper, la télé, les journaux
Cet ensemble media, donne la cadence
Si bien que fleurissent
Des bouches de plus en plus nombreuses
L’inévitable refrain de cette dépendance.
Car si dans l’air du temps, no présent
Alors du doigt montré, et là de Charybde en Scylla
Te v’là étiqueté, bon à jeté
Si pas tendance, tu sors de la danse
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Les filles de magazines,
Celles qui se croient In,
Ces fausses créatures,
Véritables pots de peintures,
Produits industriels,
Mode du scalpel,
Tas d'os anorexiques
Regonflés au plastique...
Elles sont artificielles.
Moi j'aime le naturel.
J'espère avoir ciblé ton sujet.
En tout cas bravo frèro.
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