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Je ne veux plus être cette pancarte sur laquelle on colle tous les noms
On dit que la vie m’a trop soulé, et qu’il n’y a qu’à l’alcool j’ai dit non
J’ai du monde dans ma barque, inutile que font-ils ?
Après je me retrouve seul mes frangins où sont-ils ?
Les gènes de l’écriture, à peine je la pèse dans mes veines
Comme si l’abaque de ma vie était monté avec des rennes
Thèse que je forge avec de la laine telle qu’une étoffe
Qu’est ce que tu reproche alors frangin, qu’est ce qui t’écorche
On dit l’homme est un loup pour l’homme, mais où est l’agneau
Englouti dans un cercle pervers où il faut trouver l’anneau
Chaque ouf que j’émets, une sale couche se remet
Et se déteint tel phœnix dans les couches de mes mains
Depuis tout jeune, on m’a surnommé le chat botté
Et à chaque côté j’ai capoté pensant pouvoir caboter
Ensuite j’ai carotté et j’ai pris des coups sans cesse
Je me rappelle quand j’ai dit chéri notre histoire sera sans sexe
Du coup, mon éphorie me pousse à écrire sans thème
Comme si sur moi Dieu a décidé de jeter l’anathème
Alors j’ai beuglé encore comme si pour défendre ma quête
Je devrais rester à l’abri, mais le soleil me boucane la tête
Trivor dit moi les dieux sont ils tombés sur la tête
Et loin de leurs cieux comme mes yeux sont loin de mon être
Les vieux ont-ils décidés de lâcher les pieux du maitre
Et qu’importe le lieu, telle une bête j’irai paitre
Les minutes se font l’amour et enfantent les heures
De peur de s’arrêter un jour car cette vie c’est la leur
Alors je m’enclos en accouvage, je fais croire que dans les ouvrages
Une partie de moi a été autographié par le courage
Du cauchemar au réel, je ne vois que de la merde
Pourquoi en songe Pharaon n’a eu peur que des vaches maigres
Donc par semaine je fais du new car ce n’est
Pas mon identité tatouée sur des fesses de nègres
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Du cauchemar au réel, je ne vois que de la merde
Tout a fait d'accord avec toi
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+1 avec les comms postés
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j'aime et souffre nick air
Bravo bon texte, fort en ressenti avec une belle sonorité
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merci pour tous vos commentaires
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nick a écrit:
...
Les minutes se font l’amour et enfantent les heures
De peur de s’arrêter un jour car cette vie c’est la leur
Alors je m’enclos en accouvage, je fais croire que dans les ouvrages
Une partie de moi a été autographié par le courage
Du cauchemar au réel, je ne vois que de la merde
Pourquoi en songe Pharaon n’a eu peur que des vaches maigres
Donc par semaine je fais du new car ce n’est
Pas mon identité tatouée sur des fesses de nègres
... tu vois bien que le temps se reproduit indéfiniement ... et du cauchemar au réel, il faut prôner la Vie, sinon " de peur de s'arrêter", c'est la mort assurée, ... profitons de chaque seconde qui passe et trépasse pour que la vie de l'autre se poursuive et ainsi de suite, transgénérationnellement ..
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