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L’ours polaire
Quand nos regards se sont croisés, avec l’ours polaire.
Un instant m’a effleuré, la crainte de ses griffes.
Sur son territoire, m’étant aventuré.
Mais lui sur sa banquise, un peu ignoré,
Un peu a l’écart, pas d’actualité.
N’a pas trouvé mon choix, si risqué.
Non l’ours polaire, ne pense pas qu’à ses molaires,
Ce mammifère solitaire.
De là à m’installer, squatter son immensité,
Et tailler le bout de gras,
En vieux potes, heureux des retrouvailles,
Fallait pas charrier.
Mais ressentir aucunes hostilités,
Dans le respect de nos identités,
Me faisait chaud au cœur,
Malgré ce froid de rigueur.
Adieu les histoires d’ours dévoreurs,
Des contes et autres fables de l’enfance.
Seigneur du coin en effet,
Mais point saigneur de ma témérité.
Il avait la prestance, l’élégance qui sied,
De savoir partager.
Sa banquise conquise, avec l’étranger,
Je lui en savais gré.
A l’heure de se séparer, mais non de se quitter,
Car il faut bien vaquer à ses activités,
Je le photographiais.
Sans flashs, seulement avec mes yeux ouverts,
Je savais qu’il m’avait adopté.
Qu’entre nous on pourrait cohabiter,
Une partie de pêche, rien n’empêche,
Cette fraternité, ce prêche
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J'adore les ours blancs, mon préféré est celui du sculpteur Pompon visible au musée d'Orsay, j'ai la reproduction chez moi
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alors tu sais que tu peut vivre, avec lui en harmonie
merci
biz
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il ne m'a jamais griffée, lol, et de toute façon je sais m'abriter, je sais qu'ils sont tous gauchers (en lisant ça quand j'étais mome, je ne l'ai jamais oublié en me disant que ça me servirait peut être un jour)
Les ours sont plus sages que les hommes!
le souci est que lui, je ne suis pas sûre qu'il puisse vivre longtemps avec la race humaine....
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nicole , le parallele que j'ai fait avec la solidarité pour pouvoir vivre ensemble sans se tuer, est a l'image de l'ours avec qui on peut cohabiter
Cool ton nounours fréro
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j'avais bien compris Nouga, mais je suis allée plus loin, car l'ours que tu as choisi pour l'image de la solidarité est aussi l'image choc du réchauffement de la planete, il creve de faim sur la banquise qui fond à cause de nous
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J'ai les boules.
J'ai mal au cul. J'ai les boules.
Impossible de rester cool.
Ma putain d'ex me saoule.
C'est dingue comme elle me roule.
Regarde un peu la foule
Qui s'est retournée contre mes couilles.
Si tu savais comment ça grouille
Dans ma tête...Tout s'embrouille.
Mais t'inquiète: J'ai pas la trouille.
Dernière modification par ITESS (17-03-2012 08:46:19)
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t'as pas la trouille est c'est ça qui est cool
je croise les doigts pour toi
courage fréro
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Elle m'attaque au porte-feuille.
La paille, j'en vois le seuil.
Elle veut me foutre dans un cercueil.
Dans mon prochain recueil,
J'la mettrais en deuil.
Toujours ouvert, reste mon oeil.
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l'argent nerf de la guerre, comme dab
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En fait, C'est plus de la déception qu'autre chose que j'éprouve.
On s'est aimé. On a vécu tant de choses. On a fait un enfant.
Je ne la reconnais plus.
...Et elle prétend que c'est moi qui ne veut plus voir mon fils alors que c'est elle qui m'en empêche.
Va Comprendre....
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la logique est absente, c'est le mauvais coté de l'humain qui ressort malheureusement.
dommage que les enfants en fassent les frais
mais pas facile à comprendre
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Principe
En principe, il est à l’heure,
Mais par principe, être à l’heure, c’est ringard.
Alors il arriva en retard.
Ce fut la police qu’il l’accueillit
Et d’alibi, il n’en avait, que nenni
Expliquer un retard, pour éviter le mitard,
Le met en pétard.
Mais le flic, genre Malabar
Lui dit, mon lascar
Sans alibi ta vie, va changer d’horizon
C’est écrit.
Il réitère, son retard, c’est sa manière
D’être attendu, lui le queutard.
Le flic, très franchouillard,
Tu ne serais pas un poil prétentiard
Un poil non, je ne suis pas vantard,
Je suis porno-star.
Le flic admet, met ça lui fout le cafard
Lui n’est que scribouillard
PV et PV, c’est sa vie, a ce père fouettard
En principe l’histoire est terminée,
Mais voila t’il pas que la dulcinée,
Réapparait. Et surprise, sans effets.
Le flic tout retourné, voudrait essayer,
Principe d’autorité, il se sent désigné,
La sylphide ainsi apostrophée, lui répond OK
Mais de tes liards, va falloir te délester.
Prostitution sur la chaussée, amande salée,
S’engage alors, un deal entre les intéressés.
Le flic passe l’éponge, si lui pas payé,
Elle, bien obligée, dans l’herbe c’est allongée.
Moralité
En principe il n’y aurait rien du se tramer
Mais les principes sont faits pour être bafoués,
Aussi, à défaut d’être en retard, il faut savoir
Qu’en principe rien n’est tout blanc ni tout noir.
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en principe, je te dis cool fréro
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impro' pour ma Isa:
Une silhouette de rêve
Qui me fait monter la sève,
Un regard aux éclats d'argent
Qui me fait bouillir le sang.
Une douceur à toute épreuve,
Ses caresses en sont la preuve.
Une féminité qui n'a rien de vulgaire;
Normal puisque c'est une mère.
Un vécu et une intelligence bien cachés.
Pour l'effet de surprise, c'est gagné.
Je suis fou amoureux d'elle
Et ça, c'n'est pas une nouvelle.
Vivre, vieillir puis mourir à ses côtés,
C'est ce que je suis en train de préparer.
Le bonheur est à porté de main.
Je sais que je suis sur le bon chemin.
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Quel contraste entre ce slam tout en douceur, bel hommage à Isa que tu aimes profondément et ton coup de gueule face à ton ex et je le comprends !
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Merci ma grande.
C'n'est pas parce qu'il m'arrive des merde que j'ai une vie pourrie.
Il faut toujours positiver, d'autant plus que ça attire le positif.
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bon, v'la la petite Isa adulée
un peit texte lui est consacrée
Itess son cheri tout mimi
l'amour l'a transcendé, il est éblouit
bravo , t'es positif
biz a vous deux
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Isa vise la prose à ITESS
Rouge à souhait il t'laisse
Mais peu importe pourvu que ça t'emporte
Aux portes du bonheur avec ces phrases fortes
Et belles comme toi j'fais confiance à mon poto gone
Puisse la joie avoir un 2ème nom pour vous genre "never gone"
Je vous souhaite le meilleur
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tout ça est très joli
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never gone...Jamais d'enfant ?
C'est ce qui est prévu.
Merci pour ce commentaire en rime MJ.
Content que ça te plaise Nicole.
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Never gone non c'est pour "qui ne s'en va jamais" ... Que ce bonheur dure quoi
De rien en tt cas
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Printemps
Un toit en tôle,
Qui se gondole.
Monsieur soleil,
Qui surveille.
Et le printemps,
Qui rime souvent.
Avec la sève,
Fin de la trêve.
Un peu de bleu,
D’un ciel camaïeu.
Et cette fleur,
Exhale son odeur.
Voila la saison,
Au joli nom.
L’amour murmure,
Et se rassure.
Sur les visages,
Règnent l’héritage.
De sentiments,
Si attendrissant.
Encore un printemps,
J’ai le temps,
Encore une saison,
Belle vision.
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tout joli comme un parfum neuf!
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Biz
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