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Toi, à qui je dédie ces mots, à qui j’engage ma foi
Est-ce le moment opportun, est ce le moment adéquat
Ma plume, heureuse de se lire, subitement prend de poids
Car elle est sure que déjà mes craintes et mes peines tu les noies
Toi, qui m’as appris à vivre chaque instant sans demander le pourquoi
Et à ne craindre ce qui s’efface, tu le repeins de tes doigts
Aujourd’hui, tout ce que je suis, je crois que je te le dois
Mon existence et mon sort sur lequel je m’apitoie
Des principes, je m’en fous tout comme des hommes et leurs lois
Et de l’éthique, tout m’est égal, tout à part toi
De tes mains, donne-moi de la cigüe et je la bois
Je n’en mourrai pas, tu sentiras juste mon cœur qui aboie
Dis-moi alors, suis-je ton esclave ou ton roi
Je veux être ton œuvre, j’en ai marre d’être moi
Et si je ne suis pas correcte et si je te déçois
Avec joie j’accepterai de porter ma croix
L’amour a des multiples vêtures, maintenant je le crois
Ironie du sort, de nous deux, qui est le chasseur, qui est la proie
Mon être m’a toujours trompé avec son caractère sournois
Jamais droit, soit il s’écarte du chemin, soit il louvoie
J’ai fait ton portrait, mais pas aussi réussi comme je te vois
Pas aussi réel qu’à l’accès à tes lèvres, je m’en offre le droit
Pas aussi vrai que cette envi de toi grandit chaque fois
Pas aussi claire que faire ton bonheur reste mon devoir.
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elle a bien de la chance, mais normal l'amour embellit tout
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Toi, qui m’as appris à vivre chaque instant sans demander le pourquoi
Et à ne craindre ce qui s’efface, tu le repeins de tes doigts
Aujourd’hui, tout ce que je suis, je crois que je te le dois
Mon existence et mon sort sur lequel je m’apitoie
j'aime beaucoup ce passage
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pareil que Jean Louis
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nick a écrit:
Toi, à qui je dédie ces mots, à qui j’engage ma foi
Est-ce le moment opportun, est ce le moment adéquat
Ma plume, heureuse de se lire, subitement prend de poids
Car elle est sure que déjà mes craintes et mes peines tu les noies
Toi, qui m’as appris à vivre chaque instant sans demander le pourquoi
Et à ne craindre ce qui s’efface, tu le repeins de tes doigts
Aujourd’hui, tout ce que je suis, je crois que je te le dois
Mon existence et mon sort sur lequel je m’apitoie
Des principes, je m’en fous tout comme des hommes et leurs lois
Et de l’éthique, tout m’est égal, tout à part toi
De tes mains, donne-moi de la cigüe et je la bois
Je n’en mourrai pas, tu sentiras juste mon cœur qui aboie
Dis-moi alors, suis-je ton esclave ou ton roi
Je veux être ton œuvre, j’en ai marre d’être moi
Et si je ne suis pas correcte et si je te déçois
Avec joie j’accepterai de porter ma croix
L’amour a des multiples vêtures, maintenant je le crois
Ironie du sort, de nous deux, qui est le chasseur, qui est la proie
Mon être m’a toujours trompé avec son caractère sournois
Jamais droit, soit il s’écarte du chemin, soit il louvoie
J’ai fait ton portrait, mais pas aussi réussi comme je te vois
Pas aussi réel qu’à l’accès à tes lèvres, je m’en offre le droit
Pas aussi vrai que cette envie de toi grandit chaque fois
Pas aussi claire que faire ton bonheur reste mon devoir.
Toi, la terminaison de notre maison,
Le toit, celui qui protège des intempéries.
Toi, toi, mon Toit, le prolongement de notre fondation.
Moi, Moi, Ton Moye, le coeur tendre à l'infini.
Quelle belle tendresse, derrière ton image intemporelle ... bleue oécanique...
L'union, au départ de deux pensées contraire, donne une jolie mélopée, au final ...
Dernière modification par lamalice (04-03-2012 10:49:29)
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