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texte dits :Lien
Chaque jour, naissent les chances de voir changer le rêve d’hier en réalité.
Si je pouvais changerai les larmes en rire, parce qu’aucune aube n’est pareilles
Faut croire, que c’est dans le cœur, franchir le Styx indigo vers la clarté
Ces quelques mots au bout des doigts, je planche un casque sur les oreilles
Ce monde dure, plus de 2000 ans d’histoire, flots de vie pleine de sagesse
De blessures, ma mémoire de bambin me fait dire que nous sommes sans fin
Des assassins, des frères, des pères près à tout pour qu’un jour de plus naisse
Dans un sens je veux me dire que le présent pose les marque d’un demain
Espoir redoutable dans le cœur, je pose ma vision, préférant l’incertain au vide
Je dure et reste conscient du futur, et si je merde ici, c’est que j’ai mal à l’âme
Ma fêlure, mes rêves sont mûrs, mais la blessure est là et si c’est dead
Si rien n’a de sens, alors moi je sais pas, sur quoi tu comptes à part une lame
Finir avant se dire qu’y a un moyen de faire la nique au sale temps qui nous brise
Bah c’est des conneries. Vivre c’est souffrir et si la peur précède à la lumière
C’est que nous sommes détenteurs d’un grand pouvoir qui nous hante et nous grise
Pourtant je ne peux croire que je suis mal-maudit, je vis trop belle chose sur terre
Gosse lunaire, qui se casse la gueule sur les rempart de la destinée, je braille, ouais
Et mes fautes sont d’avoir voulu rendre le sourire, la couleur plus joli, dans mes yeux
C’est que je le refuse, le sombre jour dans la bouche des experts, qui claque le fouet
Et délestent tout ce qui nous compose de bon, comme si tout ne tenait qu’au précieux
D’or ou de Rubis les mains d’une femme deviennent lourde de haine et de regrets
J’ai fait danser tes doigts entre les miens, léger comme l’air qui court dans les arbres
J’aime le feu luisant qui passe là haut derrière le gris, et je voudrais faire le guet
Des heures durant pour embraser ma tête d’un rayon de soleil, sur le piquant du sabre
Défendant la justice, le cœur, la vie même source de nous enfants de cette belle dame
Qui donne tant, et reprend les nôtres pendant que des blindé traverse des ruines tristes
Cette guerre monstre, je l’attends fier d’avoir aimé tout ce qui résonne dans mon âme
Qu’ils brandissent des flammes, je serais eau, qu’il vole notre ciel et je deviens artiste
Pour peindre des aubes nouvelles que demain les frangins ce réveillent de leur cage
Décuple la rage, et défoule leur âme dans le beau qui reste fleur planté dans le bitume
Je place ma vie là dans cet instinct de fou, et qui lézarde le goudron. Cette rage
Forme de vie furieuse, me donne la force de croire que même un poète avec une plume
Peut transformer l’Araignée en Azur. Et le sentier de boue en eldorado
Ma destination, dans cet fabrique, je la connais pas et j’en ai rien à foutre, en vrai
Chaque jour, naissent des aubes nouvelles et dans ce monstre monde, violent et beau
Je bats sandale au vent, je vais comme tous, pousser par l’envie de laissé un trait
Une empreinte de vie dans le silence de la nuit, un cri un appel, une façon dire
Qu’on est parmi les autres, cet instinct cette rage, un destin parmi mille
Et j’arrache ma gueule parce que, même la mer est tumulte, alors je deviens derviche
Mais je ne peux m’empêcher de croire là où il y a des ombres, c’est que la vie brille.
Hé ouais mec, rien de plus, amour et haine, qui se mêlent rage de vivre au larmes
Voilà j’ai cracher ma flèche, qu’elle perce ton blouson, pour que tu entendes demain
Comme nous, l’âme des choses, le destin qui nous compose, dans la joie les drames
Comprend moi bien je ne souhaite rien de plus que notre rêve réel, comme une poignée de main.
Dernière modification par MoonZ (09-02-2012 03:10:21)
MoonZ a écrit:
Chaque jour, naissent les chances de voir changer le rêve d’hier en réalité.
c'est infiniment beau, ça
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Je sais que je vais me répéter comme à chacun de tes textes mais c'est MA-GNI-FI-QUE !
Chapeau l'artiste !
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saluté je dis juste un lien en plus et merci