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Comment te dire Adieu, comment disparaître
Dois-je faire comme si je n’avais besoin d’être
De respirer. Comment te dire Adieu.
Comment te dire je souffre sans paraître naïf
Miss canif, comment te rendre cette gifle.
Comment te dire Adieu. Je cogite, m’agite…me jette ?
L’amour c’est que de la douleur…mais je suis malhonnête.
Comment te dire Adieu…ne plus dire aimer, ne plus pleurer
Ne plus dormir, ne plus me réveiller, amertume vient chercher
Grande dépression dans le gouffre cosy, derrière la porte sept
Je me laisse aller, tranquille, oui d’abord une cigarette
Et merde tu fumes aussi ! Alors un bon film, j’ai vu le même
Tous les jours de notre écorchure, je t’aime, un peu trop, problème
Situation perturbatrice, résolution par l’action genre film de guerre
Puis c’est la dernière séance, alors je fais le cow-boy, c’est dans l’ère.
Ouais lolita est une Charly Chaplin et je suis un charlot devant un chalut
Un oubli sur une jetée, « un soir sombre, l’ami, » « ouais, allé salut. »
Alors je devrais faire ça, partir sur mon destrier de papier standard
Avec du noir orange comme les flammes de briquet dans la nuit noire
Brûler les petits papiers, brûler tout, tout n’est que des fantômes
Fantasme, fanfaronnades, tout n’est pas moi, que je mente comme un môme
Tous en foutent, et je me doute, que ce qui te goute, c’est la croute
La croute que je te jette à la gueule, comme si tu m’avais dite, ma louloute,
Que j’étais le centre de l’existence. Mais je délire moi, moi je suis malade.
Tu veux le fort, le vrai, univers 3D réduit à l’expression d’un type Bad.
Je pose mes mots, de mémoire je n’ai rien demandé moi, alors bouge !
De ma tête, de ma vie, de mon art, putain de connasse peau rouge.
Bouge de mon âme comme on ferme la porte, laisse-moi crever ma race
Me délaver comme de la crasse, laisse moi mon bonheur dans l’impasse.
Ton silence enfle mon orgueil, mon espoir revient, ce soir je bois à nous
Mais tu ne seras pas là et j’aurais toute la gloire de vomir pour moins de sous.
Je vais peut-être mourir de ridicule, mais je suis une ombre sans espoir
Et dans les ombres je me jette, je te dis pas adieu, parce que c’est trop tard.
Ma cordée… l’ultime bout de chair de vie accroché à la falaise.
Une caresse un baiser, ma détresse pendu à ton silence, moi mal, toi a l’aise.
A croire que je ne suis pas balèze comme VR l’aurais aimé.
Mon naufrage en capitale, me ravage et je suis pressé d’être ce soir, mort-né.
Tous tes écrits sont des cris tellement puissants que je ne sait pas répondre
je lis..
et je suis là de mon côté d'écran ...
.....
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Comme c'est émouvant ... Je reconnais tellement ma situation dans ce texte ...
C'est criant de vérité que j'en suis fauché ...
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