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On a trempé notre plume dans notre envie de changer notre vision
On a trempé notre plume sans crainte ni peine pour s’évader de cette prison
Le cœur serré, mais la main levée, nous proclamons donc notre ascension par cette action
Fonction parfois de notre totale dévotion, ma plume célèbre glaive s’élève et révèle au bout de ses lèvres vermeilles les merveilles qu’éveillent ces temps d’éveille pendant cette révolution.
Fort de cette révélation, j’ai donc écrit ces vers versant des versets versifié qui diversifient à chaque dix vers les divers de nos rime lumières
Et en ce soir d’hiver, je lève donc mon verre comme Persée et je persévère même sans verset renversant dans ma percée car moi je perdure et même sans repère je perpétue l’art millénaire de mes pères.
J’écris donc mot après mots, avec ma plume à chaque verso, mes yeux sont clos et en sanglot car ma plume m’a posée un véto.
La nuit semble être tombée trop tôt, et mon art qui est parfois retro s’écrit avec des mots que d’aucun considèrent comme de trop.
Laissez-moi donc reprendre mon souffle car je m’essouffle et m’étouffe à force de rime sans limite
Et la je découvre comme un ouf que je rime à bout de souffle par des rythme qui irrite et milite sans limite.
Alors ma voix s’estompe juste le temps d’un instant, haletante certes mais triomphante cependant
Car moi j’ai choisit de tremper ma plume dans mon envie de tisser des rimes avec des mots
Des rimes lisser, frisées telles que décrit par ces mots.
Alors lancé dans cette odyssée, le regard fixé sur la barre de cet existant excitant je persiste tel un perchiste et fixe au sommet de l’ataraxie le but visé pour atteindre mon artistique galaxie.
Et tel un alchimiste artistique, mon art rustique s’élève et fabrique des bombes soniques qui communiquent d’une voix unique à travers l’Afrique.
Ils ont douté en toute impunité de notre capacité à révélé à toute entité notre fierté d’être porteur de cette vérité
Moi j’écris mes véllété sans arret et avec fierté et quand ma voix s’étouffe c’est verifié, c’est parce que j’écris à bout de souffle.
Car moi j’ai le souvenir tenace et la mémoire tonique.
De ces temps pas si lointain, de cette époque fantastique
Je ne sais pas si c’est normal mais moi je trouve ca magique
Putain ca fait trois heures que j’écris et j’écris à bout de souffle.
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ça fait plaisir de mettre un texte de toi dans l'index des liens
Quelles assonances!
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Un mot: top
Même si quelques vers sont empruntés a GCM , le flow les assonances dépotent !
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mmagweno a écrit:
Un mot: top
Même si quelques vers sont empruntés a GCM , le flow les assonances dépotent !
+1, c'est clair qu'on reconnait bien le style de gcm
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+1
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Oui c'est vrai, en fatit l'inspiration m'est venu en lisant "Toucher l'instant" de grand corps malade
je suis absolument fan de sa maniere d'ecrire j'essai tant bien que mal de l'imiter tout en essayant de garder mon style a moi.
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REspire pour reprendre ton inspiration, et l'expiration des mots viendra s'aligner sur le papier,... mais garde de ne pas éternuer, sinon, tout va s'envoler ...
Bravo pour les assonnances sans dissonnances de tes connaissances textuelles ... !!!
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Merci pour tes commentaires, car ce sont eux qui donne du courage et apporte la rage textuelle qui brave sans partage les orage et nous fond echapper de cet morose carnage qu'est la vie...
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