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N’être plus dans l’instant présent
Mais balloté au gré du vent, tout prés de l’océan
Regardant la course des nuages
En y voyant les avantages
Et leur donnait des noms, au fur et à mesure
Pour que les plus gros me procurent
Des émotions instantanées
Sans oublier les plus petits, aux regards affolés
Mais je les rassurent, ils sont de la famille
Et je leur parle sans bisbille
Puis j’invente des nouveaux décors
Dont ils essaient les ors
L’océan me parle de ses tempêtes
Et tous ces hommes, leur rêve de conquête
Naviguant par tous temps
Oubliant prudence, défiant les vents
Et quand aux naufrages
Il s’étonne, préfère narrer les coquillages
Tapissant ses fonds
Et que demain, un enfant poupon
Portera à ses oreilles
Afin de savoir, si le son le surveille
Il aime a se dire, que son univers
Ne sera jamais un désert
Déconnecté des mes semblables
Je suis les méandres dessinés sur le sable
Je retrace alors des itinéraires
Ou rien n’est important, pas même les horaires
Tant la sérénité ambiante
Me vide de mes interrogations récurrentes
Et si le sable à ses pièges
Je m’amuse à les déjouer, composant des arpèges
Pour faire chanter et danser
Les premières vagues échouées
Venant lécher mes pieds nus
J’ai épisodiquement rompu, les amarres en vues
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Etre ailleurs, dans un monde de songes...
j'aime bien ton texte
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Excellent texte.
Avec une préférence pour la dernière partie.
Les bonnes interrogations nous font prendre les bons chemins.
Il faut sans cesse se remettre en question; ne pas se reposer sur nos acquis
car rien ne l'est réellement.
Bravo Grand Frère.
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nicole a écrit:
Etre ailleurs, dans un monde de songes...
j'aime bien ton texte
biz Nicole
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ITESS a écrit:
Excellent texte.
Avec une préférence pour la dernière partie.
Les bonnes interrogations nous font prendre les bons chemins.
Il faut sans cesse se remettre en question; ne pas se reposer sur nos acquis
car rien ne l'est réellement.
Bravo Grand Frère.
cool merci a toi frerot
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nouga a écrit:
N’être plus dans l’instant présent
Mais balloté au gré du vent, tout prés de l’océan
...
Je suis les méandres dessinés sur le sable
Je retrace alors des itinéraires
...
Les premières vagues échouées
Venant lécher mes pieds nus
J’ai épisodiquement rompu, les amarres en vues
La vie est un conquête dessinée sur les grains de sable, blond à souhait comme l'orge et le blé, mais le souffle du vent et la mère alléchante vient effacer cette gravure qu'il faut refaire et refaire pour laisser une trace dans ce monde en mouvement ...
LA vie est long fleuve tranquille mais placé sur le pont des souvenirs, ce fleuve, bien qu'immobile, bouge à chaque seconde ...
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lamalice a écrit:
nouga a écrit:
N’être plus dans l’instant présent
Mais balloté au gré du vent, tout prés de l’océan
...
Je suis les méandres dessinés sur le sable
Je retrace alors des itinéraires
...
Les premières vagues échouées
Venant lécher mes pieds nus
J’ai épisodiquement rompu, les amarres en vuesLa vie est un conquête dessinée sur les grains de sable, blond à souhait comme l'orge et le blé, mais le souffle du vent et la mère alléchante vient effacer cette gravure qu'il faut refaire et refaire pour laisser une trace dans ce monde en mouvement ...
LA vie est long fleuve tranquille mais placé sur le pont des souvenirs, ce fleuve, bien qu'immobile, bouge à chaque seconde ...
comme tu le dis si bien , la vie est un long fleuve, parfois tranquille, et parfois hostile
alors être balloté au gré du vent me permet de l'apprecier sans trop me casser la tête
merci ami
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