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bonjour les gens...
Il va chercher de la lumière quelque part, je pense.
Là -bas dit-on il ne serre à rien de creuser les profondeurs.
Mais le poète songe qu’en toutes choses vibre clairement, L’audace.
L’audace de croire que le monde est tel un reflet.
Nous trouverons en nous la force de défaire la Peur.
Comme les hommes ont découvert à soumettre ciel et mer
Nous traverserons dans des radeaux de fortune.
Les ténèbres murées dans l’apparence des images atroces.
Je ne suis qu’un regard sous le néant éclatant parmi mille.
Et je vous le dis, je ne soustrairais jamais mon esprit aux voix sages.
Parce que dans le plus infecte paysage de mort et de cendre.
Les hommes qui en reviennent en reviennent touchés dans l’âme.
Et si la souffrance est révélatrice alors je souffre de ne pas souffrir.
Et mon audace d’être dans l’irradiante lumière, la lumière pénétrante,
Me porte comme une mère aimante. La vie n’est qu’un sentier
L’âme notre moteur à explosion …
La poésie est le fuel de cette sorte de destrier d’acier.
Suite immédiate...
Prise de son mystère !?
Ou quand la tôle plie.
Les enfants s’acharnent sur un panneau sens interdit.
Leurs cris dévalent la ruelle, on s’entend plus pleurer.
Ça bagarre un peu « genre vas-y toi, trou d’uK »
« Quoi qué t’as dit… »
Le chien déboule gueule de voyou pantouflard, il sniffe
Regarde…aboie.. « il est méchant vot’ chien »
Bof pas de dent pas vraiment, mon chien il est petit, Stan.
La nuit emporte leurs échos et mon esprit vagabonde.
Je me souviens d’un soir, j’ai passé deux heures sous la lune pleine.
Comme une faïence. Stan près de moi. J’aime la nuit toujours le mot encre
Qu’elle m’évoque ce trou d’uk « Quoi qu’es ta dit » souffle la nuit splendide
Les vagues sont fines comme un jour tranquille où seule les couettes rident.
On se délave de notre noirceur quand devant l’évidence :
Nous sommes des petites bêtes pleines de puissance.
« Quoi qué ta dis ! »
Je crois il faut garder l’espoir et l’aspiration sous ce ciel qui se balade
Sur nos aspirations, demain le destin, aujourd’hui le festin de joie.
Fin direct…
J’arpente ces rues, que je photographie comme une pie voleuse.
Je m’arrête broder quelque vers devant un verre de malt.
Descente phénomène, regarder le gobeur.
J’aboie sur la page de ma noirceur, parce que ça me libère.
Ça me guérit de l’angoisse. Mais en direct je suis amoureux d’une fille.
Je la connais même pas, je ne sais pas qui elle est, j’ai peur d’aimer comme ça
Bêtement parce que je suis un peu seul, un peu tout le temps.
Alors je dois en quelque sorte me réfugier là -dedans, pour dire moi, je suis vivant.
J’aime une fille, je lui fais des mots rouges, des mots fous des mots d’amour.
Mais je ne crache que des Maux toujours. Et les gens disent regarder le gobeur.
Il avale la lune comme la fin des temps, vieux loup des contes d’enfant.
Il se fourre bien le cœur de malheur comme on fait des choco dans la baguette.
Mais mec’ viens, viens donc prendre un bain lumière véritable, sur plage de Bretagne.
On s’en colle quelques uns et on se sépare vieux étendards des années 90, fonce-dé.
Je voudrais que les choses se passent comme coule l’eau des ponts.
Mais ces planantes soirées, je les aime pour cette petite lueur timide.
Ce moment gracieux entre Douze cent rires, qui dit tu captes ?
Alors tout ce spectacle de sombrero d’un sombre soir sans sobriété.
C’est de la foutaise de la frime, peut-être, mais tu captes là ou pas ?
MoonZ.
Je capte...
j'aime tout, mais je préfère les 2 de la fin
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moi aussi toujours dur à démarrer un diesel