Vous n'êtes pas identifié.
Mes mots se couchent
de ne plus t'aimer,
les tiens me touchent
de ne plus chanter.
Mes yeux ne cessent
de te rechercher,
les tiens me blessent
de se refermer.
Mes bras sans trêve
prient pour te trouver,
ton corps m'achève
de s'abandonner.
Là où tu t'en vas
dans mon désarroi,
les anges déjÃ
me parlent de toi.
Hors ligne
+1 avec les amis
bon retour ami Vik
Hors ligne
Les larmes ne sont pas loin, même quand la beauté les transcende
Hors ligne
Ça me fait penser a soliste malgré moi
J'aime
Hors ligne
ITESS a écrit:
Celui-ci est triste....
Mais si beau à fois.
Tu fais du bon travail.
+1
Hors ligne
Salut Vik
Comme dab, simple, efficace, bourré de concentré d'émotions, une ponctuation juste et une superbe progressivité avec un "présent" tout indiqué, bien vu ...
Juste si tu permets J'aurais personnellement vu une conjonction pour amener la chute, la dernière strophe, je pense qu'elle la renforcerait et "répondrait" à " Déjà "...
" Mais, là où tu vas " ...
Quand l'esprit et la Forme parfaite s'unissent ....
Bravo
Vincent V
Court, succint, pleins d'émotions et de tristesses concentrées par des images fortes ... cela vient amoindrir ma joie à la lecture de "A ceux qui s'aiment comme nous", où tes mots explosaient de bonheur et de tendresse ... de te voir enfin à nouveau amoureux ?
Dernière modification par lamalice (18-12-2011 12:37:17)
Hors ligne
je vous remercie les amis
Hors ligne