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Tel le souffre rance d’une allumette,
Tu craques sur le brûloir,
Et seule, ta souffrance se consume.
Sors les maux vers mal,
Ecoute au loin du près,
Le cri du chant branle de la porte ouverte,
Le long de ton corps, y dort.
Laisses flotter l’encens du mot verbal
Tu le pousses, il couine, grince,
Et s’envole dans le couloir
Du silence de ta lumière blanche
Forte sans t’aveuglée.
Sens retrouvé d’un mot fléché,
Les maux croisés se tricotent
A la douceur d’un mouton l’haineux.
Ils se mêlent en bêlant.
Et toi en haut de ton toit,
Sors de ton visage embellissant
Une horde d’aisance
Pour éteindre le feu souffrant,
Court et puissant.
Hors jeu de ton aire de surface,
De faire une douceur de velours,
Son léger voile d’air rance,
Ere sur le banc de touche,
Fuyant l’aire du « Je ».
Hors « Je », les nerfs à fleur de peau
S’en vont en virevoltant sur l’aire de repos.
Hors « Moi », sans orties des maux piquants,
S’extériorise en dehors du dedans,
Telle la loi du Roi Lion
Sans faire mâle.
Les mots s’extirpent, sortent, s’échappent,
Se croisent, se changent et s’anesthésient
Du mauvais sens de l’anagramme de l’anathème.
Ils miroitent en « Je t’aime Anna »
Et t’exhortent à continuer ta vie belle,
Heureuse, telle tu la ressens en Toi.
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Comme dit mma, tu es l'alchimiste des mots!
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les maux sans mots, comme ignoré, enfin que les maux s'envolent
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D'ailleurs je vous conseille de lire si cela n'est déjà fait : L'Alchimiste de Paulo Coelho...
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excellent livre
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MErci à tous, te pour ITESS, j'espère que tu n'as pas dépensé (coût !!) trop d'énergie à me lire ... :-)
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