Forum Grand Corps Malade et slam

je kif

un sujet bien traité, pour des femmes qui ne le sont pas
merci pour elles

Complètement d'accord avec mon frangin Nouga.
J'aime beaucoup les textes que tu nous livre ces derniers temps.
Continue.

defi ok

Heureusement que ces femmes sont la , par choix ou pas c'est la question ...

J'aime beaucoup bravo

les femmes sont ce que nous en faisons d'elles...

alors si certaines sont dévalorisées ça vient de nous


rendons-leur leur dignité, on en sortira meilleurs



bon texte qui frappe là où ça fait mal

Poupette la pepette du forum m'a dit releve le défi , pour moi c'est fait a d'autres hommes d'ajouter leurs quatrains


Comme tous les hommes, j’ai un regard
Ces femmes de la rue, qu’on appelle putes
D’où viennent’ elles,  voila une question
Mais est ce vraiment  la bonne interrogation

Ce sont des corps,  qui s’exhibent, toujours
Quelque soit le temps,  avec routine
Parait qu’elles ont besoin d’argent
Mais si souvent, elles n’en voient, que les tourments

Elles font parties du décor, consommables
Fast food de la baise, d’une société
Ou le respect, n’en finit plus d’être bafoué
Voila pourquoi ces femmes, sont banalisées

poupette Mastar a écrit:

Qu'en est il de leurs âmes?
Qu'en est il du désir de ces dames?

C'est facile de jeter du discrédit, alors que l'on meurt d'envie de jouer avec
Une grande souffrance d'être parjure, sans pouvoir faire connaitre leurs désirs, comme si s'exiber ainsi les transfoment en objet consommable, sans liberté de penser et de vivre libre.
Merci pour ce texte poigant, où nous oublions que l'animal le + dangereux pour l'homme et ses sembalbles, c'est lui-même qui ne fait rien contre ses pulsions.

Les péripapéticiennes se  montrent au grand jour sur leur trottoir de la détresse de leurs clients.
Ces femmes font les trois huit pour travailler plus et gagner plus dans leurs tire-lyres !!

Mais n'ont elles pas des valeurs à nos yeux, affrontant les quatre temps pendant que d'autres font la pute, silencieusement, en sous marins,  dans leur grand salon bourgeois, doré à l'or fin, aux tapis épais et soyeux, pour mieux nous enculer et extorquer encore plus de blés, d'oseilles, pour renflouer les tirelires étatesques qu'ils se sont chargés de vider ?

A ma décharge, ayons une pensée honorable pour ces femmes de joies, mais aussi des hommes, ... pour une clientèle en peine d'amour !!