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Au soleil couchant,
Au crépuscule du vent glaçant,
L’homme sciant se prépare
A coucher l’être Agar.
Sans hêtre abattu,
Le petit restera à la rue
De cette forêt rouge orangée,
L’eau tonne sur la terre rongée.
L’hêtre fort se consumera
Au rouge vif du feu,
Pour mourir dans le bleu des yeux
De son petit qui restera.
Couché, abattu, à plat,
Le grand hêtre ira
En forme donnée et rangée
Faire le tonneau du vin bonifié.
L’être met ta fore
Remplit d’une vie
Comme l’automne tombe l’hêtre
A la vie d’un tonneau
Rempli d’une vaine sagesse.
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et de ce tonneau d'hetre ou les 'êtres assoiffés ont bu, la sagesse s'est imposée
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Sur ce lien, il y a une chanson intitulée L'Amazonie. Jète un oeil sur le texte.
http://www.legalsounds.com/download-mp3 … ong_838225
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J'aime beaucoup, et particulièrement ces vers
lamalice a écrit:
De cette forêt rouge orangée,
L’eau tonne sur la terre rongée.
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Idem que nicole !
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C'est vrai que cette partie est très joliment trouvée
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Bravo Lamalice, L'âme à lice entre lice ... Que de pistes, de propositions d'interrogations tu proposes dans ton texte ... Le tonneau à l'automne devient il la tombe de l'être ... Que d'extrapolations possibles ... Bravo j'aime beaucoup la subtilité et en même temps la simplicité de ton écriture, Etre plutôt que chaine ... Faine plutôt que gland .. Quand un mot en cache un autre qui donne la dimension du choix, du sens ... Bravo !!
Vincent V
essaie ça aussi
http://www.youtube.com/watch?v=6QmfXe0O … re=related
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Merci a tous pour vos encouragemets et a toi Vincent V pour ton extrapolation, eh oui, il faut aller la forêt qui se cache derrière l'arbre centenaire, voire la page blanche cachée dans la pâte a bois, pour la noircir de l'aboi qui dit, et qui ment pas ... !! A chacun sa Vérité...
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