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Deux corps dans l'éternel,
Qui se lie d'un doux frisson.
Qui se haïsse cruelle,
Seul et nu Dans la passion.
Il n'y a de jouissance,
Plus forte que ton absence.
Toi qui prend plaisir de douleur,
Étoile sombre, sans lueur.
Ta peau triste de sentiment,
Qui laisse une trace mystique.
à ce vent froid artistique,
Qui chuchote le châtiment.
La mort n'est qu'un passage,
Le temps de l'homme l'invention.
Au-delà d'un corps nous serons,
Libre d'être enfin sage ....
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La douleur je suis ! être sage je ne suis pas !
Pour moi la mort est la fin de la jouissance !
Mais ton texte est toujours sympa et ta sobriété exemplaire !
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L'amour de haine, l'amour et la haine, vastes sujets antinomiques par excellence, bien exposée dans ton écrit poétique ...
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Au-delà d'un corps nous serons,
Libre d'être enfin sage..
puissions nous avoir le temps ou la grâce d y être..
chapeau mon frère!!!
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