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+ 1 avec Itess
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idem la réponse
+ biz
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Bêtise humaine
Quand viendra mon tour d’être détacher de la bêtise humaine,
D’en être plus un de ces acteurs, devenir enfin gentlemen.
L’âge venant, j’en suis toujours comme au premier jour
Impulsif et brusque, changer serait le meilleur, pour la fin du séjour.
Voilà ou cela me mène, de m’emporter pour des paroles échangées
Je ferai mieux de fermer mes oreilles, d’avoir le tact de ne rien écouter.
Prendre part à la bêtise, c’est assurément faire en sorte que je l’attise,
J’ai mieux à faire, ma vie ne mérite pas cela, aussi arrêt sur la sottise.
La bonne résolution, celle qui me permettra de ne regarder que l’horizon
De contempler le vol d’un chardonneret, d’humer l’iode à profusion.
Il me faut maintenant m’y atteler, c’est l’occasion, plus tard serait imbécilité,
Ceci n’est pas défi, mais bon sens, je le note, je l’inscris, c’est ma réalité.
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il y a quelque jours je me suis chopé avec un mec comme quand j'avais 20 piges, je me suis dis ce n'est plus possible lol
j'ai fait ce texte pour conjurer le sort et mon coté impulsif
merci ferot
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Rapports humains
Il en ait des rapports humains comme du temps.
Parfois doux comme la caresse du zéphyr,
Vous transportant dans des émotions spontanées.
Où planent les effluves d’une amitié sans taches,
Avec cette sérénité qui sied à ces instants.
Puis sans savoir pourquoi, et bien sûr, le comment.
Les voilà à l’arrêt, sans véritables vérités
Nous laissant perplexes, désorientés, vacillants.
L’image même d’un ko, groggy, sans anesthésie,
Ou l’avenir se noircit, et la raison en fait autant.
Ce sont des heures assassinent, d’incertitudes,
Ou le silence pesant dévoile les faux semblants.
Faut’ il y voir la fin qui se profile en contre-jour,
Rupture d’une échéance, épreuve épuisante
Et l’espoir en dissidence, la mort des habitudes.
À ces interrogations, sans nulle culpabilité
Il ne reste que les dunes d’un désert sans pluie.
L’indescriptible supplice de l’expérience érodée,
L’attente comme seul mot prouvant sa volonté.
Et à nouveau le zéphyr, pour atténuer l’ennui.
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Je pense qu'on se les complique, les rapports humains.
Pour se rapprocher, on cherche des tas de points communs.
Mais on oublie l'essentiel: nous sommes humains et éphémères.
C'est ce que dit le Dalai Lama dans son livre L'art du Bonheur.
Bises frérot.
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pas faux le Dailai
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Deux textes très intéressants nouga !!!
Mais je crois qu'on ne se refait pas quand à sa nature ! simplement on peut s'améliorer un peu !
Pour le second texte : je crois que parfois on est sur la même longueur d'onde avec les autres et puis parfois non ! Chacun évolue à sa manière et nous n'allons pas tous dans la même direction ! Et cela peut faire mal, en effet !
Mais le Zéphir souffle toujours un vent de liberté et de douceur !
Dernière modification par Daniel de Blanc-Mesnil (13-07-2013 09:32:19)
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merci Daniel de tes lectures et interpretations
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Thalassa
Un jour la mère gronda,
C’était un jour ou la mer grondait,
Et ceux de l’amer attendaient.
La mère réitéra,
Dans la mer se noyaient des marins,
Et à l’amer on s’inquiétait.
Puis la mère exigea,
Mais dans la mer des cris de désespérés,
Personne à l’amer n’entendait.
La mère supplia,
La mer rejetait ses noyés,
Vers l’amer on pleurait.
La mère se lamenta,
Sur la mer d’autres bateaux,
À l’amer d’autres échos.
La mère décéda,
En mer, la houle hypnotisait la foule.
Et c’est à l’amer qu’on priait.
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Au top du top Nouga,magnifique
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bises a vous deux
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quelle amertume à l'amer
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+ 1 avec Nicole.
Oh, Bonne Mère... Ta description de la Mer ne peut que donner de l'amertume.
Va donc respirer l'air de la Campagne...
De très très z'affectueux poutoux z'à toi et aux tiens de Thanalie la Loudéaçienne paisiblement
installée dans son jardin...
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biz les filles
sinon il ya l'amer picon biere
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L’avarice
Enfin l’avarice aux abysses,
de ces mille mots qui bruissent.
Il n’a pas payé son écot,
Il finira asticot.
Au bout de la canne,
d’un pêcheur d’arcanes.
Adepte du temps,
au rythme haletant.
Entre la course,
et le moment de boire à la source.
L’énergie vitale,
assure sa cavale.
Et l’avarice au supplice
stoppa les prémices.
De ver en ver
Il se noya dans un verre.
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c'est la faute a l'argent lol
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Toujours en forme nouga !!!
L'amer de tous les meaux !
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l'amer tue , ne pas en abuser
merci Daniel
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Vacancier
Avachis devant l’été roi,
Un individu paraissant,
Picole des boissons anisées,
En attendant l’autre saison.
Quand viendra le temps escompté,
Il stressera à son balcon,
En pensant à l’été prochain,
Et aux bouteilles à consommer.
Cycle infernal du vacancier,
Entre boisson et abandon,
Incertitude a l’horizon,
L’été ankylose, l’anxiété.
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ah ben merde alors, c'est que je suis habitué lol
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Princesse
Une mère maquerelle,
Expliquait à une Pucelle,
Après la première fois,
Le passeport fait loi.
Ensuite l’habitude,
S’associe avec l’interlude.
Être péripatéticienne,
Et le futur, en cartésienne.
Ceci serait trop facile,
Née pour être ustensile.
Elle se rêvait princesse,
Point, Ã brader ses fesses.
La maquerelle avisée,
Lui serinait, pour y arriver.
Qu’importe la façon,
Si le résultat est au diapason.
La pucelle obtempéra,
Pour un jour criait eurêka.
Pute devenue princesse,
À la raison, elle se confesse.
Moralité
Le cul vecteur de promotion sociale,
Cela n’a rien d’anormal.
Parais que le contraire,
Serait faire des manières.
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c'est l'actualité lol
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Restez encore
Restez un rien de provoc, c’était sa marque de fabrique,
Sa façon de s’approprier une dernière fois l’espace,
Comme si disparaître était loufoque, tellement atypique,
Qu’il se devait de constamment étonner, rester coriace.
Rester efficace, de manière à ne plus se sentir inutile
De n’être pas qu’un souvenir, d’avoir encore des envies,
Qui donne un sens au mot vie, en conservant le style
Et faire de sa gestuelle, le rempart qui protège de l’agonie.
Restez maitre de ses émotions, ne pas monter ses larmes,
Sa peur, ses crispations, et sa cohorte de perpétuelles absences,
Devant ce monde automatisé, ou chacun sort ses armes,
Afin de n’en être pas menacé, quelle drôle évidence.
Rester aux aguets, se forger une carapace, laisser sa trace,
Ne pas laisser de prise à ses insuffisances, avoir l’œil qui frise,
Regardez droit devant, capitaine d’un vaisseau d’audaces
Ou le trajet s’inscrit, sur des leçons si bien apprises.
Restez encore, transpirez la vie par les pores, être un corps,
N’offrant pas de prise, aux interrogations exigeantes,
Qui viennent par des nuits avec ou sans lune, dans son décor,
Éviter l’uniformité, la routine, et s’approprier la tangente.
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