Forum Grand Corps Malade et slam

Cool !
On a essayé d'en trouver mais sans succès.

Merci frangin.

merci pour le muguet, celui de chez moi n'est pas encore ouvert tout a fait, ça tombera pile poil avec la venue de ma fille le WE prochain du coup

Quelle légèreté dans ton slam , Nouga
Merci pour ces odorants brins de muguet
Tu sais décidément parler aux Hommes, Nouga  (Hommes avec une majuscule signifie hommes et femmes )

Double bonheur pour toi, Nicole !
De succulentes odeurs de muguet dans toute ta maison le week -end prochain et la joie de retrouver ta Chère Claire .

Passez tous un très très agréable week-end prolongé  les veinards qui ne travaillent pas le 07 Mai !

ITESS a écrit:

Les seniors sont notre banque de données.
un proverbe africain dit:
Un vieux qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.

Très beau et très juste proverbe !!
Les vieux sont ceux qui nous ont vu naître, et parfois mourir,
Les vieux sont des êtres venus d'un autre monde, auquel nous n'appartenons pas,
Certains me donnent encore l'envie de vivre et c'est à travers leurs yeux fatigués
d'avoir supportés autant de mort que je leur rends grace de m'avoir donné la vie !!!

Ca a eu un bon impact sur mes yeux en tt cas car bien aimé lire ce texte

C'est bon d'avoir de l'impact
Quand en plus on a du tact.
Signons donc un pacte
Pour assumer nos acts.

Bravo grand frère.

le débat des deux candidats m'a inspiré ceci

« Débat de quoi déjà
Ébats avec toi c’est ça
Battre le fer, tu crois
Avec passion ma foi
Tout est bon dans le débat »

Dernière modification par nouga (04-05-2012 11:45:55)

toi t'es rentré dans le vif du sujet lol
c'est vrai que c'est bonnet blanc , blanc bonnet entre les deux , j'ai trouvé ce débat egal a eux mêmes , plus preoccupé par leur election , car les promesses elles s'envolent

débat , débat, que v'la lol

C'est rigolo que tu l'ais remarquée, (je l'aurai fait aussi) alors qu'un beau mec au volant d'un 38 tonnes ne t'aurait peut être pas inspiré un texte..on est tous dans des cases, et la differnce surprend toujours un peu

Cool.
Tu me fais penser à une blague un peu longue à raconter: Raymond et son gros camion.
Bravo frèro.

Avenir

L’avenir comme passeport, mot qui transcende,
Pour aller vers demain, mot porteur d’espoir
Peut’ il décevoir, tout est dans l’art d’y voir

Les espérances comme naissances d’imaginaire
Ou sont ancrés nos rêves, les plus fous
Ceux dont on se dit, qu’ils ressemblent
A la couleur de nos jours de chance joker

Les attentes comme aiguillon nécessaire
Avec la dose d’utopie essentielle
Dans une vie pleine de tant d’imprévus
Que vivre est une aventure précaire

L’avenir sans peurs, mot oh combien magique
Humains si  demandeur de souhaits attendus
Source intarissable de nos sous-entendus

Alors, ainsi  arrimé à l’avenir et se prédire
Le bonheur en perfusion coute que coute
Mais si ses gouttes sont remplies de doutes
Il est bon d’avoir le sentiment de se le prescrire

cool brother

Sympa ton truc Frangin.

inspiration libre

Adoption

J’ai adopté une fourmi, qui chacun sait n’est point prêteuse
J’ai donc passé un deal, qu’elle soit travailleuse
Pas question que je l’entretienne
Elle m’a répondu je suis preneuse
Alors trinquons à la tienne, à la mienne

Elle s’est vite adaptée, le travail lui ne fait pas peur
Et des heures elle en fait
Sans rechigner, une vraie fée
Pas en apparence, faut rien exagérer
Ma fourmi n’a pas la gueule qui donne des vapeurs

Jamais un mot plus haut que l’autre
Mais d’une humeur pas très conviviale
Elle a rien, mais rien de mon autre protégée, ma cigale
Mais pour l’instant je ne les ai pas présentés
Il manquerait plus qu’elle lui donne des idées

Car ma cigale fait la belle, tout dans la frime
Au début le deal était simple, tu trimes
Mais elle a un poil dans la main, parait que c’est son destin
Qu’elle ne supporte pas, mais pas du tout le boulot
Elle son credo, c’est je chante et ils sont a mes pieds

L’été dure trois mois vous le savez, et les concerts
Prennent fin avec les premières feuilles qui annoncent la rentrée
L’automne se fait mélancolique, et pour être sincère
Les tubes de l’été prennent des rides
Début d’hiver, plus personne pour les écoutés

Bien sur elle a tout flambé, plus un flèche
Pas la moindre tune de coté, elle a pillave, s’est foncedée
A partousé, claqué le reste de sa braise au jeu
Et la v’là  a venir frapper, mais je m’y attendais
Elle m’assure que, mais je la stoppe, je connais ses airs wesh wesh

Quand elle voit la fourmi rentrait, aussi sec elle embraye
Elle avec sa paye, je vais la taper, elle a trop l’air
D’une petite conne, le genre à faire la bonne
Juste bequeter le nécessaire, j’en fais mon affaire
Elle l’apostrophe, et toi l’esclave, envoie les talbins ou je te marave

La fourmi la toise, puis lui dit, des raclures comme toi
Tu sais quoi, je les enmerde, fait le tapin comme dab
T’as que ton cul connasse, lâche moi la grappe
La cigale voit rouge, se jette sur elle, va te faire mettre pucelle
Puis la bagarre fait rage, et a la fin pas de mirage

Mes deux adoptées se sont charclées, la mort ne les a pas séparés
Je me dis putain, mais Quesque elles ont dans le teston
Les v’là trépassés, et moi marron, plus d’argent de l’adoption
C’est sur (la caf) va me demander des comptes, m’incriminer
Me dire de rembourser, je n’ai pas la solution, me v’là comme un con

Moralité

Va te faire chier a adopté, la récompense même si c’est, a quoi tu penses (la nemo de la Caf)
N’empêche en rien de les avoir bien hébergés
A mon tour d’aller trimer, ce n’est pas le pied (en invalidité)
Quitte a chanté, mais la faut pas rêver (ma voix de ténor s’est envolée)
Me reste quoi, mendier, c’est bien ma chance, moi qu’était heureux de paresser
Me faire Adopter, adopté, est que j’ai une gueule d’adopté
Et elles au paradis des oubliées, finalement il l’a bien cherché
Les salopes, elles se sont réconciliées