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Le cœur baisé à la racine là où l’âme lit l’œil des gens.
Je vais dans la ville entre ombre et vivant.
Si c’est milan, je jacte, nique l’omerta, je trafique mes skuds
Je sais c’est raide mais l’aube se lève, je vais sous le Sun
Les sosies se sont faits shootés, j’arrive en boule, colère contre
Les bâtard en costard, que deal la mort pour leur montre
Je remonte pas au score, je casse le Cac40 Ã coup crique
Fatigué du cirque, je glisse dans l’arène, comme l’esclave antique
Holigan dans la tempérance, mon espérance noir sur blanc
La théorie du chaos, je m’en bats, par le bas, je décolle du banc
Pour bavarder avec le ciel et bazarder la bonnes soap à papy
Je brave, mec, le grand vide avec le sourire d’un sale p’tit
Qui brasse comme si il était né boss, on est depuis le début des rot’
Je rotte ça mère, et chie là , ma vie ça fait quoi, tu veux du hot
Du hardcore, je t’ouvre comme un porc que j’écrive au sang
Le nom des morts pour que d’autres brillent en col blanc.
Ma rage est rouge, mon emblème pue la bile et la sueur
Je sais que t’as peur parce que tu ne sais pas où est planqué le tireur
Big brother et toute les chiens de l’enfer, je me suis mis à l’envers
Dans ma tête, que je reste vivant, je fais dire, mon paradis est vert
Mes larme sentent le sky, mon encre saigne, mon sang dans ta bouche
Est-ce que là ça renseigne sur ma couleur, vas-y bouge ton boule
Deux doigts dans ta soie, je suis là bien ta lingerie comme page
Je poétise ta beauté, sublime tu l’es, goutte à goutte dans le plumage
Je viens de ces marges hache dans le crâne, les épaules ailées
Tu jouie, j’aime ton sourire, daisy falait pas dire, près toi calé
Je me sens lancé dans une vie meilleure, même si ces quelques fleurs
Te séduises pas comme tu le voudrais, je voulais rendre à ton rire sa couleur.
De l’aube claire au soir sombre, je sabre cette teil-bou, pour nous
Et si c’est juste dangereux, c’est qu’on atteint le bout.
Je me perche presque proche des étoiles penchant ivre de son
Saoules, se déhanchant sur ma voix grise comme une rue bocson
Plus je jase plus ma jungle jouie dans le labyrinthe des songes
Je couve cette âme flambante neuve, intact comme une vieille éponge
Je consonne ma conne vie de voyant qui colle l’oreille, voyeur, au monde.
Rien nous fonde, ici, et rien ne s’effondre on bombe le torse à la ronde
Les jeunes garçons, les filles en bleus, sont comme toujours les mêmes
Alors puisque personne le dis ici, moi je le rime, souleveur de fonte, je les aime.
Je ne vais pas le cacher, je venus charcler, dans les Hartkes de mon petit chez moi
Diffusion, incliner sur le papier, doit-être tard, comme d’hab et le chien aboie
Je ne peux pas vivre autrement, faut les histoires nous raconte dans les rumeurs
Commères belles comme des filles photogéniques, je les nique avec le cœur
Leur confie mes conneries en musique avec le chœur, je crache ma rancœur
Et je veux qu’elles souviennent de moi avec plein de colère et comme un vengeur
Vrai songeur, au phrasé naturel pour faire bouger les culs et couler le rimmel
Mm, celle là pragmatique à du caractère, elle me sidère et je l’enlève à tire d’ailes.
LIEN : la belle et la Bête
MoonZ 2012
C'est très bien ce que tu fais.
Bon texte, Bonne voix, Bonne mélodie qui tourne et tourne et colle au texte.
Dommage que ce ne soit pas plus fort.
Mais j'ai le même problème des fois.
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j'aime beaucoup
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T bon
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merci