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Des falaises devant moi et l’Océan là -bas, derrière
J’ai chaviré depuis bien longtemps sur cette Terre
Mes eaux amères, fières, se sont dressées à la Vue
Pour ne toucher que des courbes de corps nus
Je suis Vague…le tout petit Tsunami qui ravage
La foule bruyante s’exposant à ma large Plage
Je suis aussi Vague qui allume la clope du diable
Et en échange il me file l’Encens palpable.
-Vague, me dit-on, tu sais que t’es un gros Con ?
Non, je suis juste Vague qui mange d’la chair fraîche à table
Et à la fin d’la bouffe, je crache des os comme une fable.
Depuis que j’étais petit, on m’avait appelé Vague
Plus grand je suis devenu la Vague qui divague
Comment pourrai-je vivre sans le Slam ?
Sans état d’âme ?Le cœur arraché par une lame ?
Toujours je cause sans aucun répit
Car j’ai toujours aimé Ces doux bruits
Que font les Vagues contre les falaises embellies
Comme que font deux hum hum sur le lit…belle nuit !
Puis plus tard des tombeurs m’avaient parlé des filles
Les filles cousi…les filles cousa…Cousicousa filles bonnes
Elles…elles excitent en propageant leurs arômes
Leurs parfums se mêlent en racines de Rhizome
Tandis que leur beauté usurpe en voix de rogomme
Elles…elles feignent ces tragédies qui jamais ne pardonnent.
Mais ce qui est drôle et ce qui étonne
C’est que les filles font l’aumône
Et si c’est un Nul qui s’approche
Boum boum ! Pour les Reproches
On recule, on se culpabilise et on
Cumule leurs cupules sous notre
Ecriture cursive…elles…elles ont
Ces cuves chaudes, cutanées
Mais faire gaffe à leur cupidité.
Mais le plus marrant c’est quand elles
Se jettent pour avoir la Vague déferlante
Et dès qu’elles s’y baignent
Et qu’elles y saignent
Elles crient « je t’aime je t’aime »
586………586………..586…..
Ouais plus tard, je suis devenu Vague qui divague.
Mais après les filles qu’est ce qu’il y a ? Rien mais slamons
Pris dans l’étaux de l’Inspiration je fonde ma Nation
Sans conspiration mais seule l’Imagination
Dirige la situation de mon Ile aux Wagons de Vagues.
Je ne puis respirer sans que je n’embrasse ma plume
Avez-vous déjà vu des Vagues silencieuses ?
Non, les Vagues slament et transpirent la bitume
Qui frôle et se couche avec la Nature heureuse.
Je jouis, et je nage dans la mer de l’inspiration
J’y trempe ma plume pour le slam de transmission
Je suis Vague mais la Vague je la suis aussi
Car je ne suis qu’une tranche de ce Wagon de vagues
Que nous sommes tous.
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vague eternelle qui eclabousse, se retire et revient au grés des flots mais jamais ne se lasse d'ecrire
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une vague collective de Slam
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Vague à l'âme...j'aime beaucoup te lire!
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deferle de mada sur les pages..
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C'est un texte que j'ai rédigé à la va vite..ça fait des jours que j'ai pas posté de nouveau texte...Merci beaucoup
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