Vous n'êtes pas identifié.
Allez, ça faisait longtemps que je ne vous avait pas proposé des mots
Comme d'habitude, des titres d'un CD "Fragile" des Têstes Raides
Et comme d'habitude, un texte ou plusieurs completement differents, Ã votre bon coeur
Preférer
Fragile
Crever
Oraison
Voir
Comprendre
Aimer
Constipé (lol)
Raccourci
Houba (re-lol)
Animaix
Chanson
Pieds
Hors ligne
Bon c'est du vite fait , mais comme il fallait que ça sorte le jeu en fait les frais...
Journée peu ordinaire, dans un monde de galère
Appel d’urgence à toutes les unités
Des jeunes se manifestent en incivilité
Allez, allez mes chers collègues v’nez prendre votre pied
Chopper du black du blanc du beurre je sais que vous aimez
Allo les gars, Monsieur le maire réclame toute votre aide
Allez dans le quartier qui s’ transforme en pinède
Vous n’êtes pas pompiers mais faites de votre mieux
Protéger les enfants les femmes et puis les vieux.
L’atmosphère est tendue, deux camps en position
On s’observe on se cherche, on connaît la chanson
L’équilibre est fragile, qui des deux va craquer
Quelle pierre quel projectile, les f’ra soudain charger
Et au milieu d’ la scène la vie de la cité
Des mamans au milieu d’ CRS constipé
Faut dire qu’à les voir la, ils semblent courageux
Mais j’en vois parmi eux qu’on l’air un peu fiévreux
Certaines ont préféré pour leur sécurité
Se réfugier au centre, histoire de s’abriter
D’autres essaie de comprendre ce qui se passe vraiment
Et qu’est ce qui a poussé, à ce tel embrasement
Salut petit, comment va tu ? T’as l’air détère
Qu’est ce qu’il t’arrive, t’es fou ? , tu va pas faire la guerre ?
Pourquoi en crever un, mais c’est quoi ton problème ?
Tu crois qu’en j’tant des pierres tu va niquer l’ système ?
J’vais t’ faire un raccourci de c’qui va se produire
L’histoire on la connaît, nulle part ça va t’ conduire
L’un d’ vous y restera il deviendra célèbre
Moi j’en ai marre de célébrer des oraisons funèbres
C’est bien tu lâche tes pierres, c’est ça va y pose toi
Pendant c’ temps on y r’tourne il en reste soixante trois
Tiens l’marsupilami essaie de le chopper
Houba houba qu’il dit, en narguant les condés
Salut comment tu va ? tu te souviens de moi ?
Ah ouai l’animateur, t’as vu zincou c’est zga
T’as vu j’étais pépèr la flemme m’animaix
Mais ils m’ont tiré d’sus, obligé j’ me vengerais
Ok, mais un conseil, attend d’être plus en forme
T’as l’air un peu fracass, je crois qu’il faut qu’ tu dorme
C’est ça va y pose toi ils viendront pas t’ chercher
Va y laisse le ici, il est drôlement perché
Allo central, à toutes les unités,
L’ordre est tombé du haut, il faut se replier
Vous les avez filmé, noté enregistré ?
On reviendra demain, tranquillement les soulever
Allo les gars alors ça y est ça s’est calmé ?
Ils se sont repliés, ils restent au fond armés ?
Bon, gardez vos portables la nuit risque d’être longue
Gardez bien vos baskets et oubliez vos tong
Journée peu ordinaire dans un monde de galère
Où la moindre étincelle peut déclencher une guerre
La raison de celle-ci ? Elle est bien insipide
Quatre jeunes visitaient,..... les restes d’un chantier vide….
Hors ligne
.....................................................
tu devrais le poster dans les slams, il va faire réagir, je pense....
Hors ligne
mouai...justement! mais ok !
Hors ligne
seb de blancmesnil a écrit:
mouai...justement! mais ok !
rien n'est obligé, c'est juste une suggestion
Hors ligne
je sais, non mais t'as raison, ça y est c'est fait.
Hors ligne
L’oraison me fait comprendre
Sa disparition si longtemps caché
Fille fragile elle était
Mais maintenant les regrets
Elle m’avait appris avec humilité
Comment aimer est essentiel
Et pourquoi le respect
Nous fait grandir, avec des ailes
Son mot préféré, m’est resté graver
Elle disait houba, quand elle s’éclatait
Un raccourci des sentiments
Qu’elle préservait sereinement
Je me souviens aussi quand elle s’animait
La journée démarrait en chansons
Sa garde robe alors était dévasté
Rien qu’à la voir j’étais comblé
Un beau jour comme dit l’expression
Elle est partie, sans raisons ou plutôt
Les siennes, je tournais en rond
Son absence me démolissez, je voulais crever
Plus de gout a rien, j’errais au hasard
Des kilomètres à pied, pour oublier
Mais rien n’y faisait, et même constipé
J’aurais fait le tour de la terre
Et maintenant je dois continuer
Mais sans elle la vie est un succédané
Insipide deviennent mes journées
Et cette oraison qui en moi résonne
Hors ligne