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Vidée
Un jour, un mot, un de trop…
Et m’voila partie pour la parano.
Trop de choses dans la tête
Qui tournent en rond à perpèt
Un matin, une idée de plus…
Commence alors mon rébus
Il y est question de ma vie.
Comprendre : en ai-je envie ?
Un soir, une phrase, encore…
Au loin j’aperçois la mort,
Une mort lente et cérébrale,
J’me sens bancale…
Un jour, un besoin vital…
Se répète le même acte fatal.
Arrêter, arrêter, se calmer,
Saisir l’instant, respirer.
Un matin, un désir inassouvi…
Tout au fond, grandit, grandit.
Où se trouve ma solution ?
Pas là où survit la passion.
Un soir, une envie de vide…
La tentation reste morbide
De s’rétracter pour se retirer
Dans un monde transformé.
Un jour, une transe angoissante
Désolée j’n’suis plus aimante
Sais pas quoi faire de ma peau
Rien ne soulage, même plus les mots
Un matin, un tremblement léger
Au fond du ventre troublé
Bougent les papillons noyés
Dans un océan d’acidité
Un soir, la tristesse, un moment
Les secondes ne suffisent pas maintenant
Monte le stress du lendemain
Petit à petit, je m’éteins…
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Il est temps de regarder ailleurs voir si la solution y est !
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