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Coucou les copains !
Jeunesse
J'ai comme un retour dans ma nostalgie un besoin d'ego un peu sourd
Je regarde cette jeunesse qui veut crier sur les pavés de mes vieux jours
Ça fait pleurer ça fait sourire je ne sais plus quoi penser juste écrire
La vie pleine d'étincelles claque file pulse et résonne elle m'a tant fait rugir
Encore encore je m'en sors je suis comme une fleur qui s'étire jusqu'au ciel au-dessus des murs gris
Je veux sortir mes pétales comme un feu d'artifice mais je ne sais pas qu'elle couleur va me prendre
Soleil, chou blanc, aubergine, ou Rose noire, je serais le choix des actes d'une fierté sans prix
Marchant sur les souvenirs d'un ado qui voulait mourir, enfant vétéran je souffle sur ses cendres
Je voudrais avoir vingt ans avec la mémoire des quarante et effacer les ratures
Donner le premier coup, balayer les obstacles, éviter de me prendre tant de blessures
Mais j'ai grandis dans la souffrance j'ai souffert en silence c'était ça ma prestance
Jeunesse je te jalouse mais j'aime ta présence j'ai mûris tu es mon expérience
Sans arrogance je ne le peux je ne regrette rien et je garde ma première vie
Elle à trop d'importance malgré l'errance qui m'habite elle est celle que j'ai écris
Je suis devenu adulte quand j'ai commencé à la dessiner moi-même, et, c'est pas si mal
Alors laisse moi être intemporel auprès de toi et je te laisserais voir ma robe de pétales.
Flo.G – 17/07/2022
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Coucou !
Très beau texte. Nous sommes fait "de l'ombre de ce que nous étions", et c'est le chemin qu'on a parcouru qui fait ce que l'on est, en grande partie
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la jeunesse s'enfui emportant avec elle l'enfance insouciante
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Moi qui aime les vers longs , je suis comblée
Tu nous as écrit un magnifique récit de vie
qui plus est très poétique...doux comme les blés
D'en connaitre la suite, nous avons tous envie
De très très z-affectueux poutoux z- à toi de nous neuf, à Loudéac
pour le moment et dès demain soir Brestoises et avec ma chère et tendre
Maman....
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