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Hier, acrostiche avec Jardin
puis texte avec les mots imposés amour, monde, fort, envers, histoire, frite, aventure
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Les aventures de la frite maudite
Il était une fois une petite frite toute croustillante et dorée, sortie depuis peu du bain d'huile, qui, par pure maladresse du marchand tomba à côté du cornet.
La petite frite vit ses soeurs partir vers un monde inconnu de mains tendues et de bouches gourmandes tandis qu'elle restait abandonnée sur un coin du comptoir à côté d'un gros pot de mayonnaise.
Son coeur se mit à battre très fort et elle sentit qu'elle allait pleurer.
Le pot de mayonnaise, voyant cela, voulu la consoler, et pour se faire, se mit à lui raconter des histoires de son ami Monsieur Patate, de sa rencontre avec la charmante Madame Patate et de la naissance de leur amour.
La petite frite trouva cela passionnant et très beau, et commença à ressentir de l'amitié envers le gros pot de mayonnaise.
Joyeux fouillis d'herbes folles
Anarchie des couleurs et des formes
Râteau interdit, tonte minimum
Désordre ravissant, liberté des plantes
Irruption de fleurs sauvages et d'orchidées protégées
Nature gagnante envers et contre tout
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t'as la frite assurément
un jardin sans pesticides of course
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oh, ta phrase Nouga me rappelle un vieux texte avec des frites, je n'y pensais plus, lol
Mon jardin est tout a fait comme ça, Cline
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Mon acrostiche de Jardin avant que Nicole mette les nouveaux mots !
J’ai descendu dans mon jardin
Avec Harry mon nain de jardin
Rêvasser près du grand jasmin
Danse danse petit lutin
Illumine mes lupins
Nénuphars et romarin
Et la suite de l'histoire de mon aventurier
Amour, monde, fort, envers, histoire, frite, aventure
Il fallait pourtant que je rende le compte-rendu de mes aventures à mon éditeur. Je m’enfermais donc dans mon douillet petit nid et commençais à raconter mon histoire.
J’écrivais donc une histoire qui tournait autour du monde, l’histoire un peu folle d’un homme amoureux du monde et qui voulait le parcourir sans arrêt, jusqu’à plus soif. Cet amour insatiable m’avait conduit du pays de la frite à Trinidad celui du piment le plus fort. A Saint-Petersbourg, Diaghilev et Pulcinella m’avaient mis la tête à l’envers. J’avais perdu quelques plumes à Macao, observé une aurore boréale en Laponie, dansé une gigue andiablée avec un Leprechaun un soir de St Patrick à Dublin, enchaîné les sevillanas une nuit de feria à Cordoue...
A suivre...
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Eh, super voyage !
Ton jardin, il se chante !
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Hier, on devait terminer le chapitre d'un livre, puis faire un acrostiche avec Lumière
Lueur changeante
Unissant les fronts sous la lampe.
Merveille de la flamme d'une bougie
Irisée entre bleu et jaune.
Eclats de soleil d'été
Reflets dans la pénombre fraîche derrière les volets
Etincelants et enchantés.
Puis texte avec les mots imposés (peu nombreux car c'était le 3eme exercice)
Roman, lire, maison, fleur, rêver, idée.
(ce n'est pas moi qui ai proposé roman, mais j'ai pensé à toi Cline, en l'entendant. J'espère que d'autres personnes seront inspirés aussi par ces mots)
Ne rien faire, rêver, flâner, se reposer, lire, humer le parfum des fleurs, aérer la maison, respirer, admirer le ciel, observer les oiseaux, regarder pousser l'herbe, laisser passer la vie, méditer, se laisser flotter, avoir une idée de roman, se demander si on l'écrit, laisser venir les choses.
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Pfff, pas d'idée pour lumière... Enfin si, mais je n'arrive pas à la mettre en forme. Je ne laisse quand même pas tomber.
Par contre, la suite du roman avec les mots Roman, lire, maison, fleur, rêver, idée.
J’avais toujours rêvé d’écrire Le roman, celui d’une vie, celui qui parfait une vie d’écrivain. Mes voyages m’avaient apporté beaucoup d’idées, j’avais dressé de nombreux portraits de personnages, j’avais décrit de nombreux lieux où situer mon histoire mais rien ne me satisfaisait pour être Ce roman. Et puis ma maison d’édition m’avait passé cette commande, la commande d’une vie, la mienne. Je serais donc le héros de Mon roman. Sans vouloir me jeter de fleurs, je pense être le parfait sujet de ce livre. Si un jour, tu décides, ami lecteur, d'ouvrir Le roman de ma vie, j’espère que tu prendras autant de plaisir à lire mes aventures que j’en ai pris à les vivre.
A suivre...
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Il faudrait que je tente d'écrire quelque chose comme ça sur le long terme avec les mots imposés sur du long terme. A l'atelier c'est trop court
Bravo à toi, merci de participer
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Ben
Cline Tu peux le faire le roman ! Sans soucis ! Nicole dans le long terme, tu vas te perdre.
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Hier, on faisait ce qu'on voulait de la phrase de Paul Klee
"Une ligne, c'est un point qui est parti en promenade"
puis acrostiche avec Livres
Lecture en libre service
Inventions en veux-tu en voilà
Véritables aides à vivre
Réalité, rêverie, témoignage
Essais, poésies, biographies
Science fiction, fantasy, bandes dessinées
Et texte avec les mots imposés
tante, autre, pauvre, épicier, dame, enfance, gracieuse, blanc.
Parmi les beaux souvenirs de mon enfance, il y a les vacances chez ma tante dans le sud, une gracieuse personne aimable et replète, avec un sourire aussi large que lumineux.
Elle faisait partie d'un cercle de dames actives dans le village qui, à chaque Noël, achetaient des colis de nourriture chez l'épicier pour les distribuer aux ainés les plus pauvres.
Ma tante habitait une grande maison aux murs blanchis à la chaux où il faisait toujours bon, même au plus fort de l'été.
Elle me laissait une totale liberté quand j'étais chez elle, tout en me surveillant de loin, et je me sentais pousser des ailes chaque été. Je n'aurais voulu aller autre part pour tout l'or du monde !
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Merci Daniel et bonne année
Nicole, cet atelier m'a redonné envie d'écrire ! Et parfois, je ne pense plus qu'à ces petits acrostiches, ça tourne à l'obsession. Le roman m'apaise ensuite.
Je pense que pour avancer dans mon roman, les mots de cette semaine sont un vrai défi
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écris tu le fais très bien
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Oui Cline, j'ai pensé que ce n'était pas évident. J'ai parlé de ton défi à l'atelier, on ne sait pas si c'est tenable sur la longueur avec certains tirages (on prend des mots tout a fait au hasard dans des livres ou dans la dictionnaire
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Merci Nouga
Livres
Lecteur, ceci est mon
Invitation à
Voyager, à
Rêver, à
Etre, à
S’émerveiller à en perdre la raison.
Tante, autre, pauvre, épicier, dame, enfance, gracieuse, blanc
Chapitre 1 - De mon enfance
Je n’avais pas envie de commencer par le commencement de ma vie mais mon éditeur me demande une petite présentation de ma personne. Ma jeunesse n’a pas de quoi attendrir. Je ne suis pas né dans une famille pauvre. Je n’étais pas un enfant intrépide mais curieux de tout. J’ai eu une enfance tout à fait normale et joyeuse, comme tant d’autres enfants. Nous habitions une grande maison toute blanche dans une banlieue chic toute blanche mais nous rendions souvent visite à ma tante et mes cousins qui vivaient en ville dans un appartement au-dessus d’un épicier. Toutes ces couleurs et ces odeurs nous transportaient à l’autre bout du monde. Souvent, je prétextais avoir oublié un objet indispensable dans la voiture pour repasser devant l’étale de monsieur Nadim, et monsieur Nadim, à chacun de mes passages, me racontait l’histoire d’une de ses épices. Il les connaissait toutes, il les aimait toutes. Il savait comment les sublimer dans des mets délicieux et confiait ses recettes avec bonheur. Parfois une dame entrait dans la boutique pour y acheter un simple poivre noir, elle en ressortait charger d’une multitudes de petits paquets multicolores provenant de tous les pays du monde. Je crois que mon goût du voyage est venu de là, de monsieur Nadim et de ses gracieuses et généreuses histoires d’épices.
A suivre...
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oh, ça fait voyager, bravo ! et l'acrostiche est malin
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oui bravo pour les deux
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Le jour ou je ne lis pas
Il me manque quelque chose
Vous savez ce petit truc
Rigolez point, suis accro
Evidemment vous savez
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super ! oui, il manque toujours quelque chose quand on ne lit pas. Je l'ai ressenti physiquement un jour que j'avais repris la lecture après une longue période sans que je puisse lire. j'ai eu l'impression que mon cerveau se "regonflait" comme une éponge sèche qui soudain retrouvait l'eau. Sensation très bizarre
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Trop mignon l'histoire de la frite
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Oups, pardon, oubli.
pas d'acrostiche cette semaine, juste un texte nous avons trop discuté
mots imposés place, été, stupéfaction, sac, fils, petite, avoir, couvert
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stupefaction le sac à disparu, plus à sa place , y'a-t-il un voleur ou est-ce l'effet d'Eole , dégun rigole, la police enquête à couvert, une petite chance voit le jour, alors l'espoir reprend, il dit avoir c'était être, l'humain ce paradoxe ambulant, fils d'intolerance dont les prétextes ne lui donne pas raison, j'ai été contraint d'avouer le sac je l'avais seulement déplacé trop peur des attentats,
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C'est vrai qu'aujourd'hui en Bretagne Eole serait capable de déplacer des sacs, j'ai l'impression !!
L'affaire est dans le sac! a chuchoté mon fils d'une toute petite voix excitée.
Sous couvert de montrer à mamie comment se servir de son tel, j'ai recopié tous les numéros qu'il nous manquait!
On va pouvoir appeler tout le monde pour cet été !!
Et sa voix s'enflant au fur et à mesure qu'il s'emballait: je propose un flash mob, sur la grand place du village. Axelle sera sûrement partante pour faire la chorégraphie !!
Et si tout le monde arrive à garder le secret, j'imagine la stupéfaction de mamie pour ses 80 ans !!
Trop bien , trop bien !! dit-il en esquissant un petit pas de danse.
- Ben pour le secret, parle déjà moins fort, mamie n'est pas sourde !
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bravo
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Bravo à vous deux, Nicole et Nouga
Avec les mêmes mots,vous avez su créer des atmosphères que j'aime beaucoup
Z'êtes d'une rapidité exemplaire..
Ca se sent que vous aimez bien jouer avec les mots...
Chapeau à vous...
De très très z-affectueux poutoux z-à vous et aux vôtres de nous Neuf, bien plus lentes que vous...
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Hier acrostiche avec pop-up (c'est ma marotte en ce moment)
Poétiques papiers pliés
Ouvrages organisés et délicats s'ouvrant en mini mondes ingénieux
Prodigieusement inventifs
Univers tridimensionnels magiques et merveilleux
Plissés précis, livres précieux
Et les mots imposés pris au hasard dans un dico
Perroquet persécuter moment bosquet loin distribuer permettre obéissant
Pédro, le vieux perroquet de l'ancien pirate John Sylver avait avait l'air de passer un mauvais moment dans un des petits bosquets du jardin de son propriétaire.
Le soleil avait beau briller et l'air être léger et doux, Pédro faisait grise mine et perdait ses plumes.
Il ne parlait même plus depuis la retraite du pirate, en un mot il filait un mauvais coton..
Il aurait tellement aimé repartir très loin, à l'aventure sur le navire qu'il avait toujours connu, même prendre des paquets de mer ou des tempêtes monumentales plutôt que de devoir rester près de ce sale matou qui le persécutait sans arrêt, lui distribuant des coups de pattes dès qu'il pouvait grimper près de l'oiseau.
John Sylver avait déjà mis une rouste au chat (et alors Pédro avait claironné un cri de victoire, retrouvant soudain sa voix!) mais cette sale bestiole n'était pas très obéissante, et continuait de lui gâcher la vie.
Pédro se serait bien vengé, mais le code d'honneur des pirates ne lui permettait pas de s'abaisser à ça.. ( mais pour être tout à fait honnête, son grand âge y était pour beaucoup...)
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l'a gata cris tea du forum Nicole nous entraine chez les pirates des Caraïbes elle a trop flashé sur Johnny Deep et tout ça de sa fenêtre nan de sa pop up
pardon
ôtez moi d'un doute
parlez c'est naturel
un mot après l'autre bien sûr
please respect the instructions of your window
Perroquet persécuter moment bosquet loin distribuer permettre obéissant
port de Marseille , 11 heures en ce matin ensoleillé sur les terrasses des cafés, au bar Ange sirote un perroquet, tranquille il ne se sent pas persécuter pour le moment , alors il galége sur les mecs qui bossent, sauf qu' au loin il aperçoit Tony son boss, alors il se dit , vé je vais nettoyer les verres histoire de, car Tony c'est pas dégun ici, donc pas d'engambis avec lui, ça vaut mieux.
c'est pas qu'il soit super obéissant , mais faut assurer ses arrières , il ne se voit pas tricard, encore moins à élaguer les bosquets de la ville pas plus qu'à distribuer des journaux gratuits, donc acte
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