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Sous l’Astre sourd, le désir court, s’écrire, s’ancrer à bout de lèvres
Sur les sourires de l’Amour ; Est-ce l’essence de l’être ? J’en rêve.
On en revient disent en photo les anciens, mais si la est la raison,
J’éprouverai les sciences les plus sages, pour sentir vibrer la chanson
D’un rire dans le cou. Vivre ici, sans poésie, c’est de la folie furieuse
Le froid, la faim, le feu, nos faits sont des fantaisies haineuses
Qui font des fantassins et demande à l’amour d’être assassin.
Dans le silence de la maison, je dessine des voyages sur ses seins
En laissant danser mes yeux dans les murmures de ses paupières.
Et je donnerais ma vie à ce vœu et si nos profondes prières
Portent la voix ce matin immense, dans le soupire de la chair
C’est que le Ciel est bon. Si aimer est une chanson, elle est l’air
Si l’art est beau, la lyre est un jeu d’enfant dans un château
Où nous errons l’âme blême dans un dédale de mots
Des mots qui aiment, des mots qui tuent, des mots qui disent non
Et qui… bazarde les impasses et qu’importe, prudence et raison
Elle est là , livrant sa peau, et cherchant ma main pour faire la paix
Entre l’Humain et les Astres sourds, pour ce que nous avons fait.
Je n’ai pas des larmes pour nous, j’ai des envies de fous, d’amoureux
Alors j’aime la toucher, comme on trouve l’instant ou même Dieu.
"parfois aussi, on se dit..." et on se dit superbement.
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il faudrait se le dire SOUVENT
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MoonZ a écrit:
Vivre ici, sans poésie, c’est de la folie furieuse
oui, c'est de la folie. l'art sauve de beaucoup de choses
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J'aime bien quand tu écris comme ça !
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C'est beau.
J'aime particulièrement ce passage:
"Elle est là , livrant sa peau, et cherchant ma main pour faire la paix
Entre l’Humain et les Astres sourds, pour ce que nous avons fait".
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