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les paradis perdus
A cette belle journée.
Que tristesses pleuvent, ils ne me priveront pas de ce jour-là .
Soupirs et sourires serpentent dans les pierres de la rue.
Ils ne savent pas ce que me coute ce genre de vérités.
Alors j’assimile la vie des potes et j’apprends de mes erreurs
Le monde me colle à la peau, à la pelle, l’attente, le temps mauvais
Que je défie dans le froid, plus gras après les HPs et quand s’il vous plait
Je peux partir craint, leur dire c’est me prendre pour meilleur que je suis.
Tu seras un seigneur, mon ami, si ton cœur est comme le mien,
Car tu verras en toi assez de noirceur pour être sur que le monde t’éclaire.
Je me souviens vaguement de ce que dit ce musicien à la terrasse d’un Pub.
Je me souviens de ma joie et de ma tempête
Quand il m’a dit que je lui ressemblais,
L’homme est père, mari, musicien, artiste, voyageur,
Tranquille comme une histoire qui danse nonchalante dans un fleuve de la vie.
Et que je peux rêver encore de changer le cours de ma vie,
Qu’il serait heureux de jouer avec mes mots,
Comme un jongleur fantastique. Je me demande comment j’ai pu avoir si mal,
Si longtemps, avant d’en arriver à perdre le rouge des fleurs et le bleu de l’océan.
Tu vois je me souviens que je lui aie dit :
Que si ça donne du plaisir au gens, je suis heureux.
Alors tu connais mes rêves et mes idées sur tout ce délire
Je me traine parce que je ne suis peut-être juste triste
Quand je devrais jouer l’Artiste, je me sens heureux
Parce que je vis dans cette étreinte de l’espoir et l’envie
Ces années sont les plus belles que je connaîtrais.
Moi je suis juste en train de grandir, parfois ça gueule, ça se fait mal.
Mais je n’ai pas perdu mon temps, j’ai gagné mes vingt ans
Aux poings sur le ring, comme Oxmo Puccino soulève l’arme de paix.
Je palpite à chaque seconde et turbine sur les moyens que j’ai
Pour mettre en œuvre quelque chose qu’ils ne pourront pas faire disparaître.
Après qu’ai-je à dire d’autres que mes ambiances dures et immenses
Celle que les autres ne voient pas, mais pense que ça faut la peine
D’être un phœnix pour bouffer la lune en honorant les cendres
De ceux qui m’ont donné le nom de poète dans le ventre des nuits.
Ma vie bat de connaître la sensation que je suis là , dans ces lignes
Qu’elles soient vraies ou poésies, importent peu elles sont ce que tu y trouves.
Alors je regarde et je rêve que tu l’approuves parce que
C’est toi, eux, vous tous qui me donne le sens de vivre.
SOUNDCLOUD
comment dire? j'ai une boule au ventre et les larmes aux yeux...
R.E.S.P.E.C.T.
Dernière modification par NAS'R (13-05-2014 23:02:07)
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Salut moonz, t'es vraiment bon dans ce domaine, les méandres de la vie, la poésie dans les choses, l'œil et la plume du poète quoi
J'aimerai te voir un jour, traiter un thème précis et différent de ce que tu sais si bien faire, n'y voit pas quelque chose de mal dans ce que je dis, mais il me semble que tu te dois être plus universel, si tu veux en vivre même simplement
Et je pense que sur un sujet précis tu ferais du très très lourd !!!
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je trouve qu'on touche là à une corde sensible, on à chacun notre champ d'écriture, nos influences, nos ambitions...
peut-être que la plume de Moonz ne serait pas aussi bonne dans les thèmes plus consensuels, enfin j'dis ça c'est juste pour dire.
pour ma part je suis profondément touché quand j'entend ce texte, il me renvoie à ma manière d'appréhender la poésie.
Dernière modification par NAS'R (14-05-2014 00:08:17)
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J’avoue, j’avais un faible pour le javanais
Java vavous, j’avavais, un va les autres courent
Puis je fonce et vrille, et je dévoue ma vie
A la poésie
Glaise vive
Vivace
J’axe l’asile de mes rêves
Dans l’exil et je voyage beaucoup
Trop
Un peu
Pas du tout
Passionnément.
Mon souffle me perd
Mes yeux se troublent, aussi.
J’existe par la mélodie
J’incise les mots par la poésie
Ma solitude te ressemble
C’est notre douleur.
Nous sommes égaux
Et c’est impossible
De jouer la même magie.
Parce que ça nous coute
Le rôle qu’on se donne, en vrai.
J’avalerais la mer pour que ce chapitre disparaisse
Mais nous sommes là pour jouer ce rôle
Devenir des mots, déshabiller de rêves
Des mots insignifiants mais vrais.
Alors je m’avaplavique, Vas !
Le javanais, 1 min 13"
Dernière modification par MoonZ (14-05-2014 08:17:40)
Mmagweno, t'as pas besoin de prendre des pincettes, je suis heureux d'entendre ton avis, mec.
ça manque, avant c'était cool, je sais pas...
Je pense que perso que chacun à ces phases persos. je suis pas venu longtemps sur le forum, 2 mois environ sauf vite fait, et je voulais simplement dire ce qui c'est passé ces derniers temps, après je suis pas la Météo, j'essaye de le faire de bonne façon, comme un meunuisier qui prépare un plan et montre son projet à la fin. j'aurais aimé par exemple que beaucoup ici, participe à TEMPS à DIRE et j'en suis triste, et heureux croyez moi des textes lu dans les poèmes des volontaires. je trouve que nous avons pas grand chose, mais grand corps malade le dis lui-même ça peut chémar. moi je dis c'est la porte... ( ouverte au fenêtre )
Nas'r si j'en parle c'est que je sais qu'il n'y a pas de soucis avec moonz
Ouais chacun son truc, mais il ne faut pas s'enfermer dedans, explorer, étudier d'autres voies possibles pour avancer, se compléter
Pour temps a dire, désolé de ne pas avoir participé mais en ce temps la je n'avais rien a dire lol même sur le fofo
Et je n'arrive plus a écrire sur commande, mon stylo fait souvent la grève
Je disais juste, essaies de nouvelle voies, ouvres toi a d'autres choses, tu n'en seras que meilleur , et vu ton niveau, meilleur ça promet !
En définitif tu as un grand talent qui ne demande qu'à s'affirmer, voilà mon pote
Et Tkt c'est toujours cool
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j'essaye mais je garantie rien! merci Mmagweno et Nas'R
vivre , chaque jour un peu plus
bravo ami
vivre
Le jour se lève et déjÃ
Le tumulte enveloppe
La vie qui se propage
De rumeurs et d’aléas
Vivre dans le brouhaha
Humer l’odeur de la ville
Et sentir sur son épaule
L’émanation de Gaïa
Cela suffit au bonheur
Léger comme la caresse
De ces instants qui paressent
Se laisser aller sans stress
Au rythme lent de son cœur
Utopiste et rêveur.
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NAS'R a écrit:
comment dire? j'ai une boule au ventre et les larmes aux yeux...
R.E.S.P.E.C.T.
ça me le fait presque à chaque fois que je lis Moonz!
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Voilà , je suis rassurée !
Je pensais être la seule à avoir les larmes aux yeux en découvrant tes slams, Moonz mais ce n'est pas vrai... Il reste d'autres vrais et bons humains dans ce monde...
Ton final m'émeut au plus haut point..
" C'est vous tous qui donnez du sens à ma vie "
Tiens nous au courant de l'évolution de " Temps à dire".
Contente d'avoir participé à cette aventure humaine et littéraire..
Au plaisir de t'écouter dans la pièce " La porte du Fond " à Quimper le 07 Juin et peut-être de discuter avec toi après le spectacle...
Tiens moi au jus...
De très très z'affectueux poutoux z'à toi et aux tiens de Thanalie la Brestoise ...
Dernière modification par Thanalie (16-05-2014 22:14:16)
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la pièce de théâtre dont parle Thanalie, est une pièce d'H. Gompertz en deux partie simultannée, le Musichall et deux prisonnier dont l'un est acteur. (bibi), gepetto lui demande de lui apprendre à devenir un acteur. la partie musichall conte la vie des gens de la scène avec leur joies, doutes et douleurs, en fait ça va tout niquer!
C'est très fort c'que tu balances mec.
C'que j'aime chez toi, c'est ce qui m'a plus chez le frérot quand je suis arrivé:
Une bon rythme de créativité et des sujets et des idées avec lesquelles je suis d'accord.
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