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Encore une belle nouvelle
Surprise une de plus pour rien
Ca y est elle est mariée et belle
Sur la photo une vraie reine mine de rien
Encore une superbe nouvelle
Toujours devant mon écran
Je me dis qu'elle ne m'aime pas elle
En plus je ne la connais pas c'est violent
Encore une excellente nouvelle
Bien que je suis chenapan
Je ne lui parle plus pour enterrer la querelle
Tout ça brasse du vent
Rien ne guéris ma jalousie
Demain je ne serais ivre dans hell
Moi et mes vieux tics moisis
Dans mon renferment triste nouvelle
Bonus : un dessin que j'ai fait il y a longtemps :
Dernière modification par call1990 (01-08-2019 11:57:11)
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quand les nouvelles sont bonnes bonnes c'est come la musique
le dessin c'est le loup dans la mare à canards
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Il me semble que la jalousie est un manque de confiance en soi..
Beau texte pour dire une peine nouvelle, ton écriture n'est pas moisie (je choisis ce mot pour répondre à ce que tu dis sur tes tics)
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Yes exactly !
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Le monsieur au gros bidon
Pêche au beau temps le gardon
Puis son filston tape dans le ballon
Dans la nature et non pas au salon
Il a des hameçons et un flotteur rond
Dans le cours d'eau qui est long
Sa canne patiente le temps d'un bond
De sursaut pour garder le poisson
Sur sa ligne a remonter d'un trait
Hors de l'eau il n'est plus dans son élément
Ici c'est vrai que proche du prés
C'est loin de tout et surtout du ciment
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ça mord ?
on s'y croirait
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C'est vrai, on aperçoit le bonhomme, son fiston, la canne et même le hameçon.
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la truite fario en Ardèche dans les gours , voila mon enfance chez ma grand mère
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Un crane de mort tombe du ciel
En pleine crise existentielle
L'ange du paradis éclaire
Un heureux élu qui ne va pas te plaire
L'air de rien des décombres
Lorsque Jésus gronde
Le sang coule des nuages en trombe
Où les tornades font leurs rondes
Rien n'accélère la reconstruction d'une planète
Figée dans le temps imbriqué de comète
Quand les volcans sont ensembles
Seul le messie ne tremble
Habitué hélas à ce spectacle
Des créations qui se baclent
Dernière modification par call1990 (08-08-2019 13:03:32)
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Les pates musicales
Quand le mec rentrait chez lui
Tout était prêt et bien lustré au brillant
Du plafond au sol l'air parfumé jusqu'à minuit
Peu de trucs étaient contraignants
Avec ses lunettes aux verres qu'il frotte et essuie
Ouvrant grand son journal de faits divers en pleurant
Aux larmes qui renettoie les lunettes destination etuis
Bien rangé dans son placard
Quand tout lui paraît sombre à en être peu bavard
Ces faits comprenant l'horreur sanglante
Aucun désir de compassion ni vengeance lente
Si ce papier dit la vérité à s'en pendre
Demain je n'ai personne pour me rendre
Ou aller et que faire
Se dit-il en présageant d'une idée claire
Où rien n'exaspère les facteurs de perte
Viens l'air de repos d'une pénombre verte
Demain on ira chérie et tu seras mère
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Le second texte accroche mon attention, je crois que je ne comprends pas tout, mais je devine des choses qui me parlent (et qui peut etre n'ont rien à voir avec ce que tu as voulu écrire, mais c'est ça, on écrit et les lecteurs s'approprient ce qu'ils lisent)
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