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Lève un doigt en l'air, et pas le majeur:
L'index comme repère, "-Eh, z'avez pas l'heure?"
C'est celle, pépère, d'un texte mineur
Où ma plume, légère, parlera de bonheur.
Pour certains, il est dans la thune, le flouze,
Pour plus d'un dans chacune de ses partourzes;
Pour d'autres il est dans une qu'ils épousent,
Ou même pour certaines dans leur turne, quand elles cousent.
Y'en a qui le trouvent à l'église, chez le curé,
Et d'autres qui s'enlisent à essayer de le dépasser;
Y'en a qui le misent, le faisant dépendre du croupier
Et d'autres qui se le frisent, aux Bahamas ou à Saint-Tropez.
Moi, mon bonheur je le creuse, Ã grands coups de pioche,
Que ce soient les journées heureuses comme les moches:
Pas une phrase fallacieuse, tapée sur Mac Intosh
Mais une volonté pieuse "gravée dans la roche".
Voilà , alors si le coup de grisou te guette,
Sors de ton trou et relève la tête,
Vois tout ce que t'offres la planète,
Et sois fou, chaque jour comme fête...
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Sympa! Vivons chaque jour comme une fête!
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Oh, je suis contente de te revoir passer ici, surtout pour un texte qui termine comme ça (et ce n'est pas mineur !)
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Merci pour vos encouragements,
Ca fait chaud en dedans!
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Une note joyeuse, je prends! Tes mots font mouche, on a envie d'être légère avec toi et de se saisir de cette pioche.
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