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Bien trouvé!
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bravo, et de saison
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bien trouvé , Nicole
J'aime beaucoup et comme le dit Nouga, de saison
De très très z-affectueux poutoux z- à vous et aux vôtres de nous Neuf....
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merci à tous
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C'est joli comme tout!
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voila l’estivant
plage ressasse ses pas
brise insouciante
dénudé épaules bronzées
l’été canicule
paresse avec courtoisie
l’iode raconte la
mélodie de corps inertes
et chuchotements
au large l’horizon sue
quelques cris épars
d’utopies interrompues
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Est ce que ce n'est pas trop dur de voir tous ses estivants envahir l'endroit ? (bien que dans le lot, j'imagine qu'il y a de belles estivantes réjouissantes à l'oeil
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Un texte léger où je vois l'estivant sympa et pas envahissant, mais je peux me tromper. En tout cas tu lui fais un bon accueil.
Nicole je crois bien que tu as trouvé la réponse à ta question.
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heureusement que les estivantes sont lÃ
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Lol nouga, tu aurais dû écrire Dénudées alors :;
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Seul sur le sable... https://www.youtube.com/watch?v=WRJ5-EZue_8
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l’ébauche
d’abord l’ébauche, doit-on dire boche
ce serait rancune
comme une lacune
le passé enterré, si moche
puis se fût rital moindre mal
entre nous, Latins
pas sonner, tocsin
cousins germain, c’est cérébral
portugaich serait, compromis
comme si, raciste
était plébiscite
si présent le mot alibi
bougnoule, un cran de plus vers quoi
mémoire fait défaut
sacré distinguo
hier colon,aujourd’hui, pourquoi
négro résonne, couleur de peau
voila la raison
toujours aussi con
demain pour qui l’eldorado
ébauche de notre bêtise
panigérique
ou rethorique
evolution sinon, hantise
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Texte puissant !! respect
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merci a vous deux
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J'ai failli rater celui-ci...une ébauche glissée là discrètement...et pourtant pleine de sens, celui de l'Histoire.
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petit rappel ou le commencement du racisme ordinaire
merci
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Petit mais essentiel. Dans ce domaine ne craignons pas de radoter!
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Achille
quand j’ai croisé Achille , j’avais l’estomac dans les talons
lui, les godasses usées par ses périples me conta les épices
ma faim alors n’eut plus de limites, aussi je poussai le vice
lui demandant, ne vous mettez pas la rate au court-bouillon
car mon talon d’Achille ne souffre d’aucune confusion
pas plus que mon creux à l’estomac quand il est sacrifice
j’avais dorénavant l’avantage par l’odeur du fumet
d’aller faire festin moi l’épicurien mais pas novice
dans ces lieux qui font saliver, ou tout est propice
a vous faire voyager par mets soignés, tellement convoités
Achille s’éclipsa, prenant ses jambes a son cou
qu’il me fallut un doigt de tact pour lui redire encore
que voir ses talons de godasses était une métaphore
propre au sens inné que j’ai de ma vie de touche-à -tout
je ne serais jamais le cordonnier le plus mal chaussé
prenant toujours une longueur d’avance, parant au plus pressé
dans l’humour comme dans la dérision de mon pylore
avoir de l’estomac permet d’écrire les mots du folklore
voila pour mon ego, lui qui se veut souvent sans tabous
demain m’appartient, même si mes ans s’évaporent
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C'est marrant, je viens de lire un livre sur Ulysse rentrant chez lui et se souvenant d'Achille. ça aurait pu être lui qui parle
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"mes ans s’évaporent"...c'est beau ça!
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Bravo Nouga !
Oui les ans s'évaporent… tempus Fugit mon pote on n'y peut rien
Mais faut savourez chaque instant comme tu le sais bien
Portes toi bien en tout cas
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merci a vous 3
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Ahahahahah !
Le cyclope m'a fait un clin d’œil.
J'en ai profité pour taper sur la sirène d'alarme.
Apparemment, ça lui a fait mal.
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MDR
c’est un aïeul, qui insiste persiste et cygne sur l’étang
photo de l’instantané flocons éparpillés et balles à blanc
décors carte postale, ou tordre le cou aux clichés
photographe amateur à l’œil nu et corps aux aguets
sublimer l’instant, faire en sorte d’être celui qui
ne vieillit pas, dont les rides passagères s’oublient
rester debout et patienter sans l’ombre d’une excuse
sinon celle d’avoir encore et toujours l’envie céruse
viendra le moment de ressasser, mais en attendant
s’évertuer a peaufiner ces détails souvent pertinents
qui font le caché l’effet attendu, le grain de beauté
la passion est muse quand l’attrait à le toupet
c’est un aïeul, au soir venu qui continu et s’ébahit
souvenirs scintillants dans cet itinéraire ou sa vie
lui à fait le cadeaux de se jouer des aléas des écluses
a lui de conter la quintessence qui s’en diffuse
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Puis-je dire que j'adore le texte et l'aïeul?
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Pareil !! J'adore !!
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merci les filles
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