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quand c'est écrit d'avance
sur la crête des vagues
par la fiente des mouettes
on attend la sentence
viens ensuite la schlague,
les cris d'effroi glacés
un je ne sais quoi de
qui fais que l'on t'alpague
les yeux sur la lorgnette
l'horizon s'évapore
dans des râles épilogues
que la mort bien sûr guette
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je ne suis pas sûre de comprendre ton texte, mais la seconde strophe rend triste
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Lui & Elle
tout tourne autour de Lui, son magazine
ou sa voisine l'éblouit,
pose alanguie, elle se dessine
en zibeline, dans un wagon-lit
mais voilà qu'Elle, en libertine
l'imagine dans un lieu-dit
comme accessit, Messaline
aux lèvres purpurines, se l'approprie
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un jour
un jour, ou l'autre sera
ce jour-là alors, si proche
ou si lointain, va savoir,
si les corps s'attireront
rien ne dit que c'est écrit
l'espoir,cet autre visage,
se maquille avec l'instant
au pied d'un mur imprévu
de l'attente naît le jour,
l'autre, comme un vis-Ã -vis,
légèrement vous respire
se dessine alors l'amour
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Je crois que tant qu'on a pas atteint un "certain âge", on ne peut pas comprendre la différence entre l'attrait d'une âme ou d'un corps.
Quand on est jeune on se fixe un peu trop sur "l'apparence", plus vieux on cherche "l'essence de l'âme". Et le drame, c'est que cette essence peut tout à fait avoir quelques dizaines d'années de moins. C'est à dire que l'âme n'a pas d'âge.
Donc ce ne sont pas les corps qui s'attirent vraiment, sinon ce n'est, encore, qu'une illusion, un fantasme.
Et parfois cette âme, a quelques dizaines d'années de plus, et si ce n'est pas un vrai problème pour les dames, il n'en est pas de même pour les messieurs. Nous sommes un tantinet formaté et il n'est pas si facile de sortir de la "norme".
Bon je crois que je vais aller me coucher et rêver un peu. Là il n'y a pas de limite.
Salut nouga et continue à rêver, ça nous est utile !
Dernière modification par Daniel de Blanc-Mesnil (19-10-2018 21:59:51)
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merci ami, n'hiberne pas trop
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Qui comprend quoi
Qui comprend quoi,tout va de guingois, désarroi
le coeur qui flanche dans cette course éperdue
mourir en otage dans des effluves d'argent
la gueule de l'emploi serment du nouveau roi
Ce train en marche sans arrêt aux gares, qu'il eut cru
pas la vieille dame ni le vieux monsieur, adieu
l'ombre des miséreux se dessine au fronton
au chant du coq on plume, pas de décrue en vue
Le peuple, cette manne, trésor à piller.
les ors de la république scintillent toujours
paroles s'évaporant dans l'étuve prisée
de charlatans endimanchés, vrais geôliers
De cette grande messe on retiendra encore
la blancheur des os, squelettes fantomatiques
errant sur des itinéraires pré mâchés
au gré des vagues successives tricolores
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je ne comprends pas non plus, et en plus le peuple à piller se bat contre lui même au lieu de viser plus haut
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c'est vrai , on vit de drôles de moments
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la fée C
la fée C s'est fait liftée, abandonnant martinet pour merle moqueur,
des larmes au rire, ironie cruelle, le sort en est jeté
adieu ses vis emprisonnant les corps
ce qui coûte la peau des fesses n'est plus a la portée des toute les bourses
séant qui s'en dédie
homélie en son home
la fée C au panthéon de la probité
et mon cul sur la commode
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La fée cul !
La fée cul s'est affaissée, tombant dans les pommes, à terre.
Les fesses en l'air, comme à confesse, le front par terre.
Subissant les sévices de la gravité du temps qui passe,
Les bourses vides, l'habitant, des fessées, se lasse.
Enfoncé dans ses contradictions, il se fait posséder,
Dépossédé, séance tenante, de ses possessions désorganisées.
Position inconfortable, et non commode, pour exister.
Mouiller la chemise et son froc, en chier et suer.
Le cas fée filtré, sucré, n'est pas sa tasse de thé.
La graine germée ou torréfiée, le doute s'est infiltré.
Le cul entre deux chaises musicales, la fée cul est mise à nue,
La raie publique râle sans recule au malaise, tombe des nues.
Bonne pomme, flotte de la Lune à Mars, de Neptune à Uranus.
Elle lorgne, comme une fiotte, sur les thunes et les bonus.
Pelée, confite, grillée, elle va geindre et puis sauter.
Bonne à jeter, comme épluchures à mettre à composter.
Morale alitée, espoir dépité, entre le marteau et l'enclume,
Une petite pépite, un diamant taillé, enfume pour quelques thunes.
Les faux cillent des yeux, Ã la vue de la tambouille du vice,
Les cas fées en on marre de la tribu des bouilles castratrices.
Le génie laid !
Solidarité avec les vieux fourneaux !
Dernière modification par Daniel de Blanc-Mesnil (29-11-2018 17:48:58)
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v'là une fessée symbolique tout est dans la façon de l'appliquer
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bravo à vous, les potes des fées non défaits
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C'est l'effet strophé des séniors imparfaits
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Ah ah Itess l'a pondu !
La fée cale à la mine !
Si on arrêtait de nous faire chier, on ferait des économies d'eau et de papier.
On pourrait pisser dans un violon parce que ça ne changerait rien.
Si on cessait de nous emmerder, on prendrait un peu moins la douche.
Mais on est là à en chier des ronds de chapeaux, au lieu de faire des ronds dans l'eau.
On est là pour en suer, en baver, à en tâcher nos fringues, alors que les fringants messieurs de la haute, ne sont nullement entachés de nos tâches éreintantes.
Eux, se font couler des bronzes hors de prix, vont à la chasse et tire sur tout ce qui bouge, se mènent en bateau à la pêche, tirent une ligne avec un vers, un brin déjanté, ils sont cons ces types.
"peace and love" , burinés par le soleil ! ça roule ! Des bagnoles énormes, des chiottes qui coûtent les deux bras, avec des gros pots qui ne sentent pas bon.
Et je ne vous parle pas des toilettes de ces dames, ça coûte quelques papiers, pas des billets doux.
Elles sont là , paradent et se la pète, elles trônent sur leur 31, parfois avec des goûts de chiottes.
Il faut dire que, parfois elles s'emmerdent avec leur constipé de mec qui se trimbalent avec une balayette dans le fondement !
La fée cale en bourg se régale de ces fesses de prout !
A un de ces jours glorieux !
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Et la Fée Licie, aus-si ?
Daniel, je te vois en verve, j'en profite, comme nous tous
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Je me régale à vous lire, amis seniors. Une petite consolation à mon impossibilité physique d'être dans les rues.
Je retiens: "Bon je crois que je vais aller me coucher et rêver un peu. Là il n'y a pas de limite."
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