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Je suis là mais étrangère
A mille lieux de mon coeur.
L'affection qui se terre,
Et la gorge qui se serre...
Tes regards croisent les miens
Et me propulsent en arrière,
Inerte face au destin.
Comme un chiot devant sa vitrine
Qui voit la vie s'écouler
En dehors de sa réalité,
Jusqu'à courber l'échine..
On brasse tellement de vent
Alors que je voudrais tant
M'effondrer dans tes bras
Pleurer mon amour et ma reconnaissance
Trouver une solution avec toi
Et de la vie l'appetance...
Mais je suis loin
A mille lieux de mon coeur
Peu importe mon chagrin
Peu importe mes pleurs...
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C'est tristement beau
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Même ressenti que Miss. Que les jours à venir t'apportent la sérénité!
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je m'associe
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Le titre donne un autre sens à ton texte que celui que j'y avais mis tout d'abord. C'est bien un chagrin d'amour... mais familial. Ce qui ne rend pas les choses plus faciles !!!
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Des pensées pour toi, bon courage
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Partir c'est mourir un peu.
Brasser du vent ou se battre contre des moulins.
Texte agréable à lire malgré le sujet.
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Se dire les choses est la meilleure des solutions tant qu'on peut le faire ...
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Merci pour vous gentils mots.
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Merci der Vogel.
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