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Tu sais, le monde n’attend pas, il avance avec une idée fixe, l’existence.
Qu’importe au fond que nous souffrions de nos vies brisées et de la chance
Il faut beaucoup plus qu’une armure pour endurer la pression.
Et souvent la peur qui prend au ventre est le germe d’une révolte.
Faut-il se prendre pour des Héros pour devenir des gens importants ?
Je me demande si tout ça est sérieux. Les gens veulent toujours faire face
Comme si tout dépendait de leur contrôle sur les éléments
Mais la vie est plus intense qu’un soleil et ça puissance nous dévaste.
Alors je veux bien croire qu’il existe des hommes immenses
Que nous sommes capables du meilleur comme du pire.
Mais les forces qui nous entourent peuvent choisir de nous briser.
Comme de nous grandir dans nos choix, si seulement j’avais foi...
Avant que tout s’arrête dans cette course furieuse pour le pouvoir du peuple
Avant que je ne m’effondre et que les larmes ne suffisent plus.
J’aimerais tellement que tu comprennes que j’aime cette sensation étrange
C’est plus fort que moi, j’ai la sensation d’être proche des anges.
Mais ces choses sont de mauvaises idées pour les gens qui pensent et savent.
Seulement ils ne peuvent pas prendre la mesure de mon mal et de mes pensées
Je suis la voie de mon âme, elle me sert de phare dans les ténèbres.
J’aurais aimé guérir de cette folie pour eux, mais je crois que je dois faire avec.
Mais ce n’est qu’une façon de faire avec ce que te donne la vie.
Tu peux tout briser en toi, tout inventé, mais tu ne peux lui mentir.
Ou peut-être le temps d’un battement de cil, mais elle te démolira
Au pire moment, quand tu te seras persuadé d’être de taille pour tout endurer.
Elle te donnera un coup fatal et tu seras au sol et tes mensonges,
Ton pouvoir ne seront d’aucune utilité devant la force et la rage de vivre.
Nous avons des plaies que l’amour et le temps ne guérissent pas
Qui nous donne le moyen aussi de ce battre et de ne jamais sombrer
Parce que nous savons que ceci est le prix pour la vie donnée.
Fais ce que tu as à faire, ne regarde pas trop en arrière.
On prend souvent peur devant l’immensité qui nous sépare de notre objectif,
Mais seul l’horizon est inaccessible. Le monde est à nous,
Je ne crains pas de partir, j’ai besoin
J’imagine de me mettre en péril pour ressentir ma vie,
C’est fou, le monde pousse les hommes aux pires méfaits,
Mais le jour suivant un gosse s’étire et le jour ce lève malgré nos turpitudes.
nos interrogations nous mènent dans des labyrinthes, ils nous faut beaucoup de patience pour découvrir les solutions , qui feront de nous des humains prêts a vivre , sans se préoccuper de savoir si l'on plait ou si l'avenir nous semble trop compliqué
en conclusion ami
tes quelques mots sont le cheminement de l'être débarrassait du paraitre
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+1 avec mes prédécesseurs..
le jour se leve toujours, et le soleil regarde, immobile, le grand gâchis..
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