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Au premier quart temps les BPM captent l’attention
Sapes classe devant table de craps flattent la miss. Action !
Mystifié par les messes médiatiques, j’entre à pas de chat
Dans l’arène de molosse sauce Ketchupmayo avec la frite
Normal ça frime, dans des fripes au Kilo, j’accepte la critique
Mais ! Prends ton stylo et clic sur reset, car tout ceci est vidéo ludique
Lubie d’un basil boli du bic, je marque la page en entête
De quelques facilités linguistiques, sur le beat oui, j’aime faire la fête.
Naquit dans une ville tristement célèbre, je deviens vite globe-trotter
Dans les journaux de Géo et j’allume les restes de mégot
Pour partir comme une caisse noire pleine de magot
Mon but n’est pas la cage, je smashe à l’horizon un soleil rouge
Rime comme deux gouttes d’eau l’une sur la joue l’autre sur la vitre,
Malheur à celui qui me saigne, car mon sang est d’encre ineffaçable
D’une façade à l’autre je marque les murs comme l’ombre
Et jonche les sols des parcs, j’y compte les heures et cherche un remède
Au sortilège des parques qui fil nos destins triste comme Andromède
J’endoctrine mes bottes pour quelles marchent en rythme
Que veux-tu le temps est à la dictature de soie, mais je crois c’est un film.
Alors je file d’ici, Messi dribble et marque et l’espace d’un instant
Je crois je ressens un semblant de joie ! Est-ce un mal d’être innocent
Sans issues la plupart rêve d’un coup du sombrero, et finissent sombre héros.
Mon son braille au stylo dans les îlots du pactole, souffle comme éole
Et ensevelis des kilos d’or au fond de l’eau, comme une bombe Air-sol.
La chimie de ma mine est un carbone 14 volé aux vieux dieux vodou
Avant que la nuit tombe que je devienne une femme indienne,
Dans un journal, morte pour sa révolte, je sortirais le colt, sur les volt
Mes reportages ne rendront pas heureux, comme un potage mon pote
Mais j’opte pour ce choix, que veux-tu le temps nous escroque
Je lui la pareille, puisque l’ascenseur est en panne, je peine à croire
Que là haut ce soit beaucoup plus beau qu’ici dans le fond.
"mon sang est d’encre ineffaçable"
"Au sortilège des parques qui fil(ent) nos destins triste(s) comme Andromède"
J'ai aimé ces deux vers là .
Par contre, le reste demande un sacré souffle... mais ça détonne d'images...
Dernière modification par degrémont alexandre (17-12-2013 03:10:21)
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Moonz a toujours des images qui me font décoller, et un sacré souffle de plume qui dribble!
je mettrais "Né ds une ville" plutot que "naquit", non?
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je te cite
""Je crois je ressens un semblant de joie ! Est-ce un mal d’être innocent""
certainement pas , ne dis t'on pas
"""aux innocents les mains pleines""
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