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Nous oublions parfois
Nous pleurerons avant, sois-en sûr
Les gens sont comme ce soir
Merveilleux et si triste à la fois
Croquis dans le froid sur la Glace
Je me demande où nous serons
Après le bout de cette route
Après le gouffre devant nous.
Je voudrais terrasser tout ce qui nous oppresse
Je voudrais brûler le monde et danser à mourir
Je voudrais que te l’entende ce poème
Te le dire au fond de l’âme et partir devant
T’emporter dans les fonds marins
Revenir comme un soleil à l’aube
Je devrais croire en ces choses plus souvent
Mais tu sais le vent tourne et je me sens mauvais
Ma vie n’est pas belle, mes mains sont sales
Ma tête est pleine d’angoisse et de traces
Mais nous oublions parfois…
Nous oublions parfois.
Et est-ce que cela à un sens ?
Tout ce qui compte à mes yeux, est au loin
Entre deux immensité, l’avant l’après
Je regarde mon présent se diluer
Dans le bord de mer où partent ces voiliers
Mais je repars en arrière avant d’être noyé
Pourquoi ne puis-je donc devenir un voyage
Un souvenir, une page blanche, une joue salée.
Pourquoi ce rire, me tue, Ã quoi bon se battre
Ils disent que je suis rien, que je suis fou
Ils disent que dans 100 ans mon ombre sera pierre
Et mon amie je ne veux pas te voir pleurer
Alors je m’en vais, puisque nous oublions.
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Qu'est ce que j'aime te lire!! (meme si je l'ai déjà dit)
nous oublions, mais pas tout. moi j'oublie les blessures et les douleurs, mais jamais les amis et les mains tendues
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