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Tu regardes l’horizon assis sur le bord d’un banc
Parfois là , tu te demandes pourquoi seuls sont les oiseaux.
Tu regardes voler les pigeons et les tourtereaux.
Et tu rêves aussi, bien qu’assis de partir vers le haut.
Nous sommes des enfants foudroyés
Nous sommes des produits remplis d’âme.
Nous sommes eau, terre et flamme.
Nous sommes un rire, un soupire, une larme.
Tu redemandes un peu de cette part de tarte salée
C’est un instant heureux qui t’emporte mon ami
Mais tu sais que tu as la chance de ce genre de vie.
Alors tu savoures mieux encore ton repas.
C’est comme toujours le blues qui m’appelle.
Pourquoi n’entends tu pas le bonheur qui t’enroule.
Peut-être qu’il fait si froid que tu te colles dans la foule.
C’est comme toujours le blues qui t’arrête de courir.
Nous sommes des enfants, certes, mais conscients.
Chaque morceau de viande sanglante est une blessure
Dans ce vivier qui nous sert d’empire et de futur.
Ils n’ont sans doute rien prévu pour nous, rien qui vaille la peine.
Nous irons soit en sûrs avant qu’ils ne nous attachent au fond.
Nous irons démarcher le soleil et prendre la lumière.
C’est notre rêve de gosse, je n’oublierai jamais, mes prières.
Tu peux prendre la tangente et croire qu’ils sont la justice.
Mais je veux moi, qu’ils écoutent notre sagesse populaire.
Notre marche est celle du peuple en progression.
Je me demande souvent, sur le banc pourquoi tu es seul.
Pourquoi tu es si ressemblant à ma propre errance.
J’ai souvent pris le feu et la colère pour une chose bonne.
Parce que les mots doux, n’apaisent pas vraiment.
Il calme comme un repas frugal, il donne de l’air.
Mais colère et douceur ne sont pas la réponse à mon mal de vivre.
Nous sommes dans un grand vide spirituel.
Notre révolution est intérieure et les choses sont ainsi.
Nous marchons et marchandons nos rêves avec le magicien.
Mais le magicien dore le ciel et attend aussi, assis, nos lumières.
Alors nous rêvons de prendre des ailes de cire et de partir par le haut.
Mais la lumière est à l’intérieure une minute de joie intense.
Ces mots sont ceux que j’ai pour te distraire de ta peine houleuse.
Donne moi un peu de la tienne que je revienne te voir demai
perte de reperes de valeurs, = societé en errance
l'oiseau devient symbole de liberté
bon texte ami
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merci nouga j'aurais aimé appeler ce texte, L'autre que moi...aussi.
Je pense que nous cherchons tous un mot = LIBERTE pour appréhender notre quête de bonheur
Qui pourrait-être ce mot Bonheur = liberté, mais je crois perso que c'est plus compliqué...
C'est pour ça que j'écris pour dire ce que je pige difficilement. A+
le bonheur n'est pas forcement liberté, mais plutot paix avec soi meme et avec ce qui nous entoure (enfin pour moi, car je n'ai rien à fuir)
le bonheur appartient a chacun, et souvent il ne fait pas de bruit et se tient quand meme à nos côtés
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