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Je te regarde et je pleure ou je pars, mais c’est idem
Je pleure d’avoir aimé te dire que nous étions les mêmes
Je pars pour taire les larmes qui me viennent
Faudra-t-il que je chante pour que je nous souvienne ?
La palme du tisseur de peine, je me la traîne
Comme un poète blême, qui se saigne comme t’aime
Je parle au sol, au si, au soir d’alcool et de lune crème
Je te regarde chose triste dans ma paume qui peine
A peser mon crâne en rêvant silencieux d’autres thèmes
Ma Rome antique, mon palais de vent sous la lune pleine
Ma demeure ou je brûlerais sans chrysanthème
Ecoute le chant de ton gosse à problème
Qui se promène l’âme en creux sur le sable et sème
Quelque vers de bohème et lance de vague théorème
Sur le plaisir de voir tes yeux, belle finistérienne
Mer amoureuse de mon voyage d’étrange alien
Mais c’est un détour heureux, cette terre je l’aime
Et j’aimerais en repartir en laissant quelque poème
Pour retenir les joies qui nous retiennent.
la rythme en éne aine haine peine font de ces quelques mots tout ce que j'aime
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Tes rimes en " n " et " m " , je les aime... loin de la haine.
De très très z'affectueux poutoux z' à toi de Thanalie bientôt finistérienne du Nord.. de Brest même...
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"Je parle au sol, au si, au soir d’alcool et de lune crème"
j'aiùe beaucoup (et le reste aussi)
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Court mais chargé d'images poétiques et de douceur ... que le crâne s'allège libérant de la place pour que l'Esprit s'apaise, soit plus léger ...
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