Vous n'êtes pas identifié.
C’est une jolie histoire, un moment de pure poésie
Assez belle, ouais, pour que les sergents y est consentis
Mon sentiment est comme une page blanche pleine
Plume au bec, quel poète a réussi une telle scène.
Maintenant voyons dans le détail, ma paille à l’œil
Me tire déjà les larmes et le crocodile se fend la gueule
Nous étions… nous allions entre les arbres immenses
Et je me souviens que le vent dansait avec patience
Il ne se passait pas grand-chose d’extraordinaire
Juste un peu d’eau, un souriceau, un sourire de dromadaire
Quelques heures perdues dans les ballades en hauteur
Mon frère se mariait, toi près de mon cœur
Et toi aussi Mj nous allions dans ce paradis terrestre
Et rien n’importait vraiment sinon que sans feuille pas de tresse
De fumée, de rire enfoncé dans les brume abstraites
C’était le jour où le père cueillait des pensées près d’un hêtre
Où tout était calme dans ma tête, une chose parfaitement belle
Je dansais le soir, avec une pixie, je m’inventais des ailes.
Voilà c’est assez simple, ample je me largue au large
Dans le naufrage, de ma barge, sur les berges d’une grande plage
Je jouais dans la flotte comme un gosse de 10-12 ans
Et j’en avais rien a foutre de l’argent, du temps, juste le moment.
Et tout est comme ci, comme ça, ici prendre une marge est dangereux
Eux qui voudraient nous tuer parce qu’on cherche juste à être heureux.
Me faire la peau, tu peux, mais je te donnerais pas mon trésor
Alors va danser avec la guerre dans ton cœur, moi je flotte pépère à Larvor.
belles images et beaucoup de poèsie et de nostalagie
bravo ami
Hors ligne
Doux moment insouciant qui émerge de l'enfance, le pays de l'innocence ... !!!
Hors ligne
que j'aime ce texte!
Hors ligne