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Je marche sur les cendres d’hier, sur l’aube à venir
J’ai conscience de ce qui m’entoure et je tourne en rond
Mon espoir le plus profond est de taire les voix dans ma tête
De prendre la splendeur des étoiles, de devenir un homme
J’aime le temps qui passe et j’y pose mes mots de gosse rêveur
Mais il faudra disent ces hommes que j’arrache ma liberté
Ils veulent faire de moi un combattant, un serviteur du système
Je ne l’accepte pas je suis un type ordinaire mais je sais savoir
Et leur vision est erronée, donnez moi une flûte j’emporterai
Tous ces moutons à la falaise ou aux paradis, voilà leur pensée
Seulement je ne connais pas de musique qui rendent dépendant
Juste vivant, pensant, aimant, ma musique est cardiaque, c’est le RAP
Dans le fond de mon cœur, je sais que je me libère à travers ça
C’est une force puissante que les mots qui me démarque de leur ligne
De leur colonne, de leur silence, car je ne suis qu’une boule de bruit.
Bienvenue au théâtre de la musique dingue
Bienvenue dans la paume d’un paumé, le doigt levé
A cette hantise qui me sert de front et porte mon crâne
Qui cogne, en quête d’une raison au cirque fantastique
Mon ami, mon amour, mon aveu jeté au feu
Splendeur et caresse sont toutes dérisoires
Mon ami, mon amour, mon âme est pour
Pour sentir le corps vibré d’un éclat neuf
Chantant la pluie sous les demeures de l’attente
Nous regardons le monde par un judas
Et nos couleurs sont les flous qui nous désarment
Alors je me demande si tout ceci est sens
Si ma mathématique s’offre un prétexte pour dire
Avec cœur, que nous serons des vivants encore un peu
Soir de beuverie, aux espoirs endormis
Au chant des sirènes, à l’appel de la nuit
Je crache mon liquide de feu sur le papier
Image délavée sur un mur de pierre maudite
Voyez camarades ! Voyez l’emprise et la triste beauté
Qui déboule sur le boulevard, belle comme une divinité
Epoque étrange, vraiment, jouant à l’élastique
Tirant sur la corde, mimant l’enfant endormi
Récif blond sous la lumière du jour de nos 20 ans
Passager dévalant, les passages délavés d’affiche destroy
Grise est la ville où je pisse, sur la brutalité des roses.
ton univers avec le bruit en live , et la brutalité de la rose , epine de la vie
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triste beauté, mais quelle beauté!
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J'adore ton texte!
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En plein dans le mille, tu fais mouche ... la boule a fait un strike ... dans ton jeu de quille ... !!! Et pourtant, tu tiens sur tes guibolles ..., et des mains, tu tiens le Je de paume ... mais ne la mords pas comme Eve ... ce fruit défendu ... !!!
" ...Bienvenue dans la paume d’un paumé, le doigt levé ..." pour poser les Bonnes Questions ?? ou demander la parole ? ...
" ... donnez moi une flûte j’emporterai, Tous ces moutons à la falaise ou aux paradis ..." : http://www.coindespetits.com/histoires/ … lute2.html
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