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J’ôtais mon chapeau,
Garder mes idéaux.
Envoyer paitre les râleurs,
Laissez paraître les frimeurs.
Je marchais à contre-courant,
Vers ces merveilleux instants.
Rien ne me semblait plus beau,
Qu’une femme en paréo.
Tenue de saison en couleur,
Rêve éveillé du rimailleur.
Quand la vie en donne le temps,
Et l’œil alors, en fait autant.
Ce fut bref, mais si intense,
À portée de mains, d’influence.
De regards et d’envies partagées,
Comme si la foudre avait frappé.
Osmose de l’instant attendu,
Attraction des corps, de visu.
Un jour de bonheur, de chance,
Ou vivre offre l’imprévoyance.
Et ce sentiment de liberté,
Avec l’insouciance en alliée.
Souvenir ancré de l’inattendu,
Cadeau dans un écrin d’absolu.
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Petite question: POURQUOI TU LA PAS BRANCHER????!!
parce que c'est une vision gros malin
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et bien moi aussi je veux une vision : jeune mec tatoué et imberbe lol
bref joli texte !
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"tout bonheur que la main n'atteint pas n'est qu'un rêve"
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16nanou tu vas voir avant la fin de l'été ça va marcher pour moi c'est mort je suis vieux pas tatoué pas imberbe lol
nicole , belle citation
frerot bon c'est vrai je suis marié , mais contre les visions tu peux rien c'est ça qui est cool
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nicole a écrit:
"tout bonheur que la main n'atteint pas n'est qu'un rêve"
c'est beau !!!
nouga, garde l'espoir ( à défaut les yeux grands ouverts),
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Vik je garde les deux , l'espoir fait vivre et les yeux grands ouverts pour profiter pleinement des belles visions
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c'est un texte de Soulary, je l'ai mis dans textes coup de coeur bis, dans autour de l'écrit
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j'ai lu
merci biz
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