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Un petit texte qui m'est venu comme ça:
Alors qu'il est assis à déguster son café tranquillement, il observe du haut de sa terrasse tout ces gens travailler. Il est le patron, ou plutôt le maître. Ces hommes et ces femmes qui travaillent sont ses esclaves, il les a eus pour un bon prix et ils travaillent bien. Il se sent fort, il sait qu'il a droit de vie ou de mort sur tout ces pauvres gens.
De la pitié? Ce n'est pas bon pour les affaires donc, il s'en passe. Seul compte le travaille abattus en fin de journée et l'argent gagner grâce à ca.
Les coups de fouet pleuvent sur le dos de ceux qui ont le malheur de ralentir, ils ne sont que des objets au yeux de cet homme froid et calculateur. Ils doivent travailler, ce sont leur seul raison d'exister. S'il n'en sont plus capable, il ne servent plus à rien et son abattus sur plaçe et jetter dans une fosse comme de vulgaire déchets inutilisable.
Voilà comment cet homme pense, nul compassion ni émotion, rien d'autre qu'un l'appat du gain toujours plus grand.
Il se lève enfin de son siège et descend se méler au esclaves avec déjà dans la tête, le plaisir de punir celui ou celle qui oserais poser ses yeux sur lui.
Soudain, ses yeux captent l'un des esclaves qui lache son outil et tombe à genou sous l'effet de l'épuisement. Les lèvres du maître s'étire déjà dans un sourire glacial et il sort son fouet pour punir ce pauvre esclave qui ne demande qu'un peu de repos.
arriver à son niveau, il lève le fouet, prêt à frapper tout en anticipant le plaisir que le cris de douleur lui prodiguera. C'est alors que l'esclave tourne la tête vers lui, c'est en fait une des rare femme a travailler ici qui le regarde.
Malgré son visage amaigri par le manque de nourriture, elle est d'une beauté saisissante; son regard désèsperer laisse passer un charme envoutant. Le maître en reste un instant pétrifié, il reconnaît cette pauvre femme qui le regarde d'un air terrifié. Malgré les années passées, il la reconnaîtrait entre mille: sa première et unique femme qu'il ai jamais aimé, celle qui lui a appris à apprécié la vie. Cette femme qu'il avais rencontrer un soir d'hiver au coin d'une rue se trouvais là , perdue au milieu des centaines d'autres esclaves.
Des souvenirs affluèrent alors dans son esprit: il se souvint de l'homme qu'il étais à l'époque, de la générosité donc il avais appris a faire preuve au côté de la femme qu'il aimais, du bonheur qu'il avais de vivre juste pour le plaisir sans chercher a s'enrichir indéfiniment.
Ce fut comme un coup de masse en pleine tête, il vascilla et se retrouva au sol, comme sous le choc. Alors la terrible réalité se révéla à lui:
-Que suis-je donc devenu?"
Il se releva, encore sous le choc. Il jeta un regard à la femme qu'il avais aimer, un regard remplis de honte et de désespoir. Il lui dit d'une voix abattue:
-Quitte ces lieux et emmène tout les autres, vous êtes libre..."
Elle voulu répondre quelque chose mais il lui tourna le dos sans un mot de plus.
Il remonta dans sa villa où il se rendit dans sa chambre. Il ouvrit son coffre-fort et empoigna son revolver.
-Le monde se passe très bien des ordure dans mon genre; pardonne-moi mon amour..."
Sur ces derniers mots, il plaça le canon sur sa tempe et appyua sur la détente sans hésitation. La puissance de la balle lui fit exploser la boîte crânienne et il s'écroula sur le tapis sans rien d'autre que ses regrets...
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Ben toi t'es pas des plus optimiste !!!!!
Sympa ton histoire !!!
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Je doit avouer que mon texte ne respire pas la joie et l'optimisme
Mais bon, faut croire que j'ai plus d'inspiration pour parler du mal que du bien.
Merci à toi
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l'important c'est de se liberer des nos chaines
bien vu
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