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Après des années de combats où la vie ne fut que sacrifices
j'ai réussi à me poser , loin des bruits et des artifices
ma petite maison,toujours ensoleillée , je l'aimais
je m'y sentais bien, en sécurité, la j'oubliais.
Pour moi c'était le vrai bonheur,une maison , un pré
une haie pour m'isoler, les lapins dans le jardin.
Mais très vite la réalité m'a rattrapé c'est certain
J'ai du tout quitter pour affronter la dure réalité
de la maladie de l'oubli.....oui celle ci
Je me suis installé , à regret, dans cette maison à demie enfouie
où l'humidité sent le moisi , mais par sacrifice on oublie
Certains me posent la question."Comment fais tu pour vivre lÃ
Moi je ne peux pas"
et bien moi , même si j'peux pas je le fais
je fais le sacrifice de sacrifier ma vie
Peu importe pour les autres, avec leur petit confort
de faux bourgeois, si toi tu es là seul , face a
la vieillesse et l'oubli, face a cette maison sans confort
peu importe si tu petes les plombs , les sacrifices
c'est pas eux qui les font .
Chaque jour j'attends avec impatience que vienne le soir
dans le silence renait mon espoir
je retrouve mon amour ,même si 8000km nous séparent
le telephone le rapproche , sa voix me réconforte elle me répare
alors j'oublie les sacrifices j'oublie la maladie de l'oubli
j'oublie que la mère a oublié depuis longtemps
que je ne suis pas là par amour mais
par sacrifice parce que certains ont oublié d'aimer
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L'idée générale est bonne.
Toute fois, il y a trop de répétition.
un exemple: "je fais le sacrifice de sacrifier ma vie ".
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Il y a une sacré souffrance derrière tes mots, j'espère que de l'écrire te fait du bien
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les repetitions sont voulues Itess mais merci d'avoir pris le temps de lire
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l'ecriture est un bon remède pour s'évader et oublier
merci nicole
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