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C’est un peu étrange, juste comme ça.
Un moment entre des êtres… aimants.
Nous courons des rêves de poches,
Cherchant sans mesure qu’un jour, peut-être,
L’un l’autre se rapproche, tout près.
Lèvres rouge sur la peau comme pour parler
Dans l’instant aux songes des anges.
Maintenant que nous sommes en éclats de vie
Éclatant de foudre et de feu, le silence des éléments
Serons-nous toujours heureux, ainsi ?
C’est un peu étrange et si délicat, délicieux.
Comment ne pas aimer voir sourire tes yeux.
Je penche mon cœur sur les draps d’une voyageuse.
Je voudrais tant connaître le bout de la détresse.
Mais aux portes de nos promesses, tu laisses les fleurs.
C’est un étrange constat, un monde étrange
Vivre comme un coquillage sur le seuil du monde.
Un monde étrange ! Et comme je divague,
L’océan m’emporte…
MoonZ a écrit:
Lèvres rouge sur la peau comme pour parler
Dans l’instant aux songes des anges.
Maintenant que nous sommes en éclats de vie
Éclatant de foudre et de feu, le silence des éléments
Serons-nous toujours heureux, ainsi ?
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Comment ne pas aimer voir sourire tes yeux.
Marrant, les songes des anges, mais deux enfants qui s'embrassent, ne sont-ils aps des anges ? je n'y aurait jamais pensé, tout est en filigrane, comme ces photos de loupiots estampés.
J'aime la contradiction suggérée par les éclats et le silence, ça dynamise la relation des aimants.
Et le dernier vers cité est remarquable en invitation à la découverte d'un nouvel horizon.
C'est un slam romantique porteur d'espérance, comme ce navire que l'on vient de baptiser et qui emporte à jamais la marque de notre sollicitude...
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Sensualité, douceur des peaux, érotisme poétique des pensées en liberté ... deux aimants, comme deux amants, attirés l'un par l'autre, entre dipôles que pourtant tout oppose...
Bien vu "Comment ne pas aimer voir sourire tes yeux", j'adore, cela ma fait sourire ...
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