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Comme il était beau, le convoyeur de larmes, le pourvoyeur des âmes
Le charme d'un damné dans son costume fait d'ombres
Il porte si bien la mort, le tueur de remords
Qui possède dans ses yeux l'or de la vie qui dort...
Mais comme il était beau, sobre au teint hivernal, au discours peu banal
On a un point commun c'est un coeur lacrymal
Ca fait si mal...
Je l'attends chaque nuits, voleur de tous mes rêves, il empreinte mon lit et quand le jour se lève, il disparaît sans bruits, le temps a fait une trève, j'ai le sourire aux lèvres...
O comme il était beau mon démon destructeur, aussi beau que parleur, aux humeurs des noirceurs, il prend avec douceur les peurs des gens qui meurent
A leurs heures évidement
En bon intendant des tourments
Quand sa vie de profane l'attend, pour quelques semblant de'sentiments...
Oui comme il faisait chaud, dans ses bras de péchés, où l'atroce devient beau, on en veut toujours trop, de cette chaleur intense, de l'immense décadence, le sucre de la violence, l'errance de la démence, délivrance de nos sens, l'enfer et ses romances...
Mais comme il faisait beau, sur mon corps oublié, dans ma vie décharnée, sur mon ave'nir raté et mon passé gravé, c'est les cordes bien serrées, qui n'ont fait qu'renforcer, un lien particulier, nos sceaux se sont mélés et nos sangs mélangés, jusqu'à se compléter, et le chaos est né, l'un l'autre alimentés, mais comment oublier l'odeur de souffrance du soufre que l'ont a transpiraient...
Nous ne sommes que les clés aux mêmes aptitudes, pouvant tout incarner et ont aent l'habitude, c'est de ça qu'ont est fait de haine d'une vie trop prude, ont voudraient tout casser lasses de cette solitude, le Chaos peut régner en nous rendant si rude, l'air d'un monde soulagé va suivre notre prélude.
[EkimoZ]
Hommes contre nature
Le rouge du ciel annonce les pleurs de la forêt
Fumé de Gaïa d'actes d'humains ne cessent de m'écoeurer
Larmes de flammes décharnent le vert de vie blazé
Ça prendra trop d'années pour tout recommencer
Mais même avec le temps je ne'peux m'y habituer
Les hommes rouge protégé eux aussi font les frais
De la folie d'autres hommes qui aiment torturer
Une part de l'oxygène qui nous a tous crée
Non je ne comprends pas et je'comprendrais jamais
Ce qui peut les pousser à tout dénaturer...
Le rouge du ciel, son ocre l'été vient tourmenter
L'essence de ma région et efface ses sentiers
Où j'aimais y rêver, on peut y respirer
L'odeur de mère nature criante et assoiffée
La chaleur "no futur" de'forêts désenchantées
Met un terme aux malheurs de nos terres desséchées...
C'est le vent infernal qui aide à propager
Le démon estival n'arrête pas d'avancer
Y'a plus rien à cramer, c'est si vite oublié
Que vais-je dire à ma fille que la flore a bercé?
Comment vais-je expliquer que la faune va fané?
Je maudis l'inconscience de ceux qui ont tué
L'horizon verdoyant que j'ai idolâtré
Incendiaires volontaires qui rarement ont payé
Je déteste ces gens qui ne se sont seul donné
Le droit de tout détruire de l'allumette craquée...
Le rouge du ciel annonce les pleurs de mon aimée
La fumé de Gaïa blessante et répétée
Larmes de flammes s'acharnent sur un vert épuisé
Ça prendra tant d'années, renouveau repoussé
Mais même avec le temps je ne peux accepter
De voir les hommes du rouge liberté tomber
De la folie d'autres hommes juste bons à se'faire soigner
Notre essence, l'oxygène se meurt dans cette fumé
Non je ne capte pas et je'capterai jamais
Ce qui peut les guider à ne'plus rien voir pousser.
[EkimoZ]
Dernière modification par EkimoZ (11-04-2008 11:16:23)
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comme j'aime te lire!! tes écrits plein d'ombres...je ne m'en lasse pas. tu sais choisir tes mots bravo, c'est MAGNIFIQUE!
On a un point commun c'est un coeur lacrymal
Ça fait si mal...
et comme je partage tes révoltes (mais qui ne va pas les partager, ici?) quelle tristesse que ces grands incendies qui dévorent les forêts...la nature reprend bien sûr ses droits, mais y perd tant de force...
Je maudis l'inconscience de ceux qui ont tué
l'horizon verdoyant que j'ai idolâtré
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Merci beaucoup Nicole! Ca me fais très plaisir!!! =)
C'était un élan de révolte parmi tant d'autre, je ne supporte plus les feux qui chaque année crame tous les plus beaux coins de ma région... et aussi du monde du coup!
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La nature est elle si mal faite, que l'on brûle au sud et on se noie au nord?
Non elle est parfaite cette planète !
Mais les hommes eux, sont encore loin de cette perfection!...
Tu m'as touchée si profondément
que j'ai un feu qui brûle ardemment
dans mes entrailles et dans mon âme
une entaille dans mon corps de femme
un feu sans fumée
que j' n' peux partager
tant il m'a ravagé...
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Toujours ta marque de fabrique. j'avais enve de réagir mais je me traîne une migraine ophtalmique depuis ce matin et je n'arrive pas à regarder l'écran.
alors je remettrais ça plus tard
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EkimoZ a écrit:
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Comme il était beau, le convoyeur de larmes, le pourvoyeur des âmes
Le charme d'un damné dans son costume fait d'ombres
Il porte si bien la mort, le tueur de remords
Qui possède dans ses yeux l'or de la vie qui dort...
Mais comme il était beau, sobre au teint hivernal, au discours peu banal
On a un point commun c'est un coeur lacrymal
Ça fait si mal...
Je l'attends chaque nuits, voleur de tous mes rêves, il empreinte mon lit et quand le jour se lève, il disparaît sans bruits, le temps à fait une trêve, j'ai le sourire aux lèvres...
O comme il était beau mon démon destructeur, aussi beau que parleur, aux humeurs des noirceurs, il prend avec douceur les peurs des gens qui meurent
A leurs heures évidement
En bon intendant des tourments
Quand sa vie de profane l'attend, pour quelques semblant de'sentiments...
Oui comme il faisait chaud, dans ses bras de péchés, où l'atroce devient beau, on en veut toujours trop, de cette chaleur intense, de l'immense décadence, le sucre de la violence, l'errance de la démence, délivrance de nos sens, l'enfer et ses romances...
Mais comme il faisait beau, sur mon corps oublié, dans ma vie décharnée, sur mon ave'nir raté et mon passé gravé, c'est les cordes bien serrées, qui n'ont fait qu'renforcer, un lien particulier, nos sceaux se sont mêlés et nos sangs mélangés, jusqu'à se compléter, et le chaos est né, l'un l'autre alimentés, mais comment oublier l'odeur de souffrance du soufre que l'ont a transpiraient...
Nous ne sommes que les clés aux mêmes aptitudes, pouvant tout incarner et ont aent l'habitude, c'est de ça qu'ont est fait de haine d'une vie trop prude, ont voudraient tout casser lasses de cette solitude, le Chaos peut régner en nous rendant si rude, l'air d'un monde soulagé va suivre notre prélude.
EkimoZ
pfffffffffffffffffffffffuiiiiiiiiiiiiiit ! ce texte est d'une puissance !!! le style, les jeux de mots; le fond ...j'adore tout !
tu as decidement une plume incroyable !
j'avoue ne pas trop aimer les truc sombres mais je dois reconnaitre que ta plume m'impressionne beaucoup. keep it up !
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Merci à tous pour vos gentils commentaires!
J'avais un peu peur que le premier texte ne soit pas bien peçue, ou mal comprit!
Mes textes sont surement trop perso alors ça me fais toujours un truc quand je les poste sous vos regards ici!!!
Encore mille mercis! =)
ps: Sekaijin je te fais confiance pour repasser!!! lol
(les migraines "des yeux" c'est pas bon ça!!!)
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je remonte ces textes si forts de ma petite Ekimoz, pour lui dire que je pense à elle, et que je l'embrasse...
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Mille merci!!! J'en est besoin en ce moment!!! Bizoux!!!
J'ai fais un truc très nihiliste et dans des conditions pas très top...
Je poste quand même, je partage tout avec vous !!! LOL
Me demandez pas pourquoi comment hein...
Plus bas... nouvel air
Démon de minuit, bourreau de mes sens
De cet amour trouvé encore la mort me lance
Le râle du fléau des corps décharnés
Évince mon souffle d'humanité souillé
Les pieds gelés par la haine respirée
Je me laisse dériver pour mieux me retrouver
Renaissant dans ses bras de sang immaculés
Nos énergies se mêlent pour détruire et créer
Le regard du vivant quand le Chaos est né
Frères et soeurs du même rang
Aux mêmes destins rampant
En saisissant le fer de nos esprits criants
Ressurgira de terre pour seul testament
Enfin un nouvel air et le temps des changements...
Le vent du Nord murmure une amère litanie
L'union de nos deux êtres embrasse l'infamie
Célébrons l'absence de Lune qui nous a donné vie
Pour le prince des morts mon âme je retranscris
Et soumise je l'implore de revenir la nuit
Les chimères s'évaporent rien ne compte à part lui
Le putride rentre en moi forçant mes derniers cris
Le beau est dans l'atroce par sa force j'en jouie
Le feu de notre monde me rappel d'où je viens
Et l'espace d'une seconde je ne pense plus à rien
Je peux sentir sa main maintenant Sion est loin
Dévastons cette terre qui est notre abjection
L'humain est un sous-être qui n'est que notre chien
Frères et soeurs du même rang
Au même destin latent
En saisissant les mers de nos esprits tyrans
S'envolera nos fiers et abondants boucans
Enfin un nouvel air et le temps des changements...
Par les archs de puissance pliés sous sa psychè
Je réponds à l'appel d'un océan d'éternité
Nue la vanité me quitte d'énergies et d'ombres mêlés
Le dragon de la terreur s'engouffre dans une vérité
L'amertume de la cruauté animé du feu sacré
Léger sentiment de plume le sol se soustrait sous mes pieds
La terre bafouée de nos anciens n'est plus bercé par le passé
Et c'est nourrit des âmes damnées que les frontières se sont brisées
Je sens la noirceur dans mes veines qui n'y coule que pour exister
J'ai vu la noirceur de ses yeux et j'ai compris qui il était
Frères et soeurs du même rang
Au même destin puissant
En saisissant l'essence de l'Homme qui gît agonisant
Se libérera de son sceau le bouillonnant volcan
Enfin un nouvel air et le temps des changements...
Sous le ciel gris de rouge meurtri
Un lien fait d'or j'ai chéri
Dans les méandres de mon abri
Mûri le fruit de ceux bannis
Qui réunit crée l'agonie
Des aveuglés, des impunis
Entendez ma voix au travers des âges
Sentez la chaleur du coeur des sauvages
Admirez le visage de notre mère la rage
Espérez le courage continuons le carnage
Et écrivez les pages de ce que furent les mages
Frères et soeurs de même rang
Au même destin bruyant
En saisissant la chaire de nos corps dominant
Reviendra le Néant onirique et tranchant
Enfin un nouvel air et le temps des changements...
Délicieux est le fiel de nos renaissances
Ambitieux et cruel celui de mes sens
Où brûle la patience dans la décadence
Dans la providence d'une dure substance
Vois l'incandescente arborescence des transes
Punis l'imprudence de ceux qui prônent l'ignorance
Repousse et fais violence aux tabous de l'ingérence
Est l'intelligence de voir les masques en transparence
Clair désire macabre de savoir et d'absorber
Le moment où dans l'errance comme un guide apparaît
Quand mon dernier souffle laisse place à la liberté
Je prends vie dans la mort oubliant la pitié
Telle la légion ensanglantée qui un soir ce sol à marqué
Portée par la déesse de la nuit qu'un seul être à révélé
Je me réveils à tout jamais pour voir les masses enfin tomber
Frères et soeurs du même rang
Au même destin glorifiant
Du haut de la tour d'argent soulève les océans
En ne cassant que la roche quand le courage se fait vent
Enfin un nouvel air et le temps des changements...
Je donne toute mon obéissance
Aux départs et fins des consciences
De ma loge sort l'intolérance
L'abondance et ses réjouissances
Pour combler ce monde en carence
Ma démence danse sous la puissance
Du cruel qui devient jouissance
Nourrissez vous de malveillances
En effaçant les doléances
Quand le noir et le rouge se fiance
Sous mon regard d'intransigeance
Aux côté de mon autre le temps est suspendu
Toutes les portes sont ouvertes s'échappant les vertues
J'en diffuse notre essence de valeurs répandue
Gloire à l'union éternelle d'où coule le blanc déchu
Gloire à cette énergie qui pour nous s'est battu
Frères et soeurs du même rang
Au même destin enivrant
De Mars au Soleil pour répandre le sang
En enfantant par Lune noire comme ses enfants
Enfin vient le nouvel air et le temps des changements.
Dernière modification par EkimoZ (11-04-2008 11:19:02)
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sekaijin a écrit:
Ekimooooooooooooooooz!
pareil !!! moi, j'ai failli mettre "whooooo!"
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contente de te retrouver et en plus avec un nouveau texte ....qu'il faut que j'apprivoise car je le sens sauvage dans ma première lecture ....
amicales pensées et bisoux
Merci à Nicole de remonter tous ces trésors de temps en temps!
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Enfin vient le nouvel air et le temps des changements.
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c ver ce soir que je mourait
et pour cela jai decider
de pas rester les bras croiser
je suis parti trés lion d'ici
ici ou j'ai grandi
pour tenter de voir du pays
j'en es vue et sans regré
des amis je m'en suis fait des gentil des enculer
mais sans rancune j'ai savourer
venue le soir l'heure a sonner
venue le soir je le savait
c'est aujourd'hui que je mourrai
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bon là je dis "B R A V O", tes textes ekimoz, laissent sur moi toutes sortes d'equimoses, et je reste béat d'admiration devant tant de talent...
en meme temps je perçois toutes ces formes d'écorchures de bleus à l'ame et je me demande pourqoui somme nous fait souvent que de douleur...continue j'apprécie...grandement...
SmOoz
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Merci Smooz, merci à tous!!!
je ne sais pas vraiment quoi dire d'autre alors merci encore!!! lol
Ben je ne sais plus trop où poster alors j'continue ici...
Parenthèse
J'aimerais te dire qu'j'ai oublié
Et que t'appartiens au passé
Qu'ton sourire me fait plus craquer
Qu'on se'connait peu, que t'as bien fais
Et qu'on a pas les mêmes délires
Que je passe mes nuits à te'maudir
Qu'ensemble on a aucun ave'nir
Mais ce soir, saoul, je peux te le'dire
C'est faux mais j'aime'rais te mentir
Ignorer pour ne pas souffrir
Ne plus attendre une connexion
Et nos p'tites convers à la con
T'as tué mon coeur cet embryon
T'as avorté ma rage de lion
Je n'sais pas si je ne'suis qu'un pion
Une illusion ou un brouillon
Car t'as tout remis en question
On est si fiers alors pensons...
J'aimerai te dire qu' j' penses plus à toi
Que t'es personne surtout pour moi
Qu'on répond pas aux mêmes lois
Que j'rempe plus devant mon roi
Mais putain j'crève quand je te vois
J'te desir, imagine tes bras
Et face à ton regard hagard je sais que je n'existe pas...
[EkimoZ]
Dernière modification par EkimoZ (02-04-2008 11:14:06)
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" j'ai lu au fond de tes yeux ce que signifiait le mot malheur (..)
j'ai pas trouvé les mots pour consoler l'inconsolable (...)
j'ai trouvé que ma main pour poser sur ton épaule"
GCM "j'ai pas les mots"
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Merci!
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"parenthèse" il porte bien son titre celui là !
On peut aussi lire ton slam dans ton magnifique dessin,tu sais vraiment bien dessiner les sentiments.....j'aime la pureté du visage et la dureté du regard qui balance tant d'émotions ....bravo
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Mille merci Stoupig!!!
Si ça ne dérange personne, j'aimerais corriger les "caractères buggés" en illustrant mes écrits par la même occaz! ??? (je m'adresse sur tout à notre Nounou et à notre chèr admin hein!!! lol)
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pas de soucis, j'ai commencé a le faire, mais c'est assez fastidieux...et les poètes ont dans leur disque dur les textes, cela ira plus vite...
Doudzz a dit que les bugs vont surement être corrigés, mais il faut trouver du temps pour trifouiller dans le moteur, et ça ne doit pas être simple....
quant à touver des dessins dans tes slams, je ne crois pas que ça pose un problème (hein, Doudzz?)..papi m'a demandé s'il pouvait mettre des photos avec les siens...
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il n'est pas besoin d'avoir une copie et de corriger les texte à la main
pour corriger son texte l'ouvrir dans le navigateur
aller dans le menu affichage et choisir l'encodage UTF8 (sur safari c'est présentation->encodage->utf8) sur IE de mémoire ce doit-être Afichage->Codage des caractères->UTF8
une fois ce choix fait le texte apparaît en claire il faut alors copier le texte puis l'éditer et repasser l'encodage en Iso-Latin-1 ou ISO-5589-1 ou occidental ouest, ou codage par defaut (le codage qui était là avant de choisir UTF8)
remplacer tout le texte en collant le presse papier
et poster le tout
J'ai fait quasiment tout mes textes de cette façon.
A+JYT
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Sekaijin j'ai pas compris grand chose mais je ne doute pas du résultat!!!
Je vais me contenter de faire des copier/coller pour corriger les textes!
J'illustrerais les textes qui ont une illustration...hein!!! Merci pour la permission!!! ;-)
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(J'ai illustré et corrigé quelques écris, mais je trouve plus les autres!!! LOL)
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ben mince, je te les remonte si je les trouve...il n'y a pas de raison....
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EkimoZ a écrit:
Sekaijin j'ai pas compris grand chose mais je ne doute pas du résultat!!!
Je vais me contenter de faire des copier/coller pour corriger les textes!
J'illustrerais les textes qui ont une illustration...hein!!! Merci pour la permission!!! ;-)
la première chose à faire c'est de chercher dans les menus de ton navigateur une entrée qui te permet de choisir le codage de la page.
tu parcours les menus et tu dois trouver un truc genre "Encodage" "Encoding" "Code de la page" "jeu de caractères" je ne peux pas donner le nom exact car je n'ai pas sous la main tout les navigateurs
tous ont un menu pour ça mais il ne s'appelle pas toujours pareil.
Bref dans ce menu est proposé plusieurs encodage qui portent les doux noms de 'ISO-8859-1' 'UFT8' 'Europe Occidentale' etc.
il y en deux qui nous intéresse celui qui est déjà sélectionné en général il s'appelle 'défaut' 'iso-latin-1' 'iso-8859-1' ou 'europe occidentale' bref tous ces noms représente les caractères utilisés en france.
il suffit de le repérer et de s'en souvenir pour la suite.
le second s'appelle 'UTF8' ou 'Unicode' c'est l'ensembles des caractères des langues les plus répandues.
maintenant ouvrir la page contenant le texte qui s'affiche mal
choisir dans ce fameux menu 'UTF8' (ou équivalent)
Le texte s'affiche alors correctement.
Le copier.
de nouveau dans le même menu remettre l'encodage tel qu'il était
le texte est de nouveau mal affiché
L'éditer, coller et enregistrer
les texte est corrigé
A+JYT
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Ah d'accord je vois se que veux dire Sekaijin!!!
(j'ai compris!!!)
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