Forum Grand Corps Malade et slam

MA TERRE, MA PASSION.

En fait  ca fait  un  temps que  traînent  dans ma tête, des vers qui tissent des  rimes pour en faire des  textes
Des trucs un peu différents, je ne sais exactement, mais depuis quelques temps  mon slam veut s’écrire et pour cela cherche des prétextes.
Quatre  semaines déjà passé loin de ma terre promise
Pour le retour de l’enfant prodigue je voudrais apporter  des lettres comme celle de Mozart à élise
Je voudrais que ce soit COMME UNE EVIDENCE et que cela sonne comme une belle balade
Je voudrais marquer ma présence en somme pour faire un boom avec mon encre et non avec  une grenade
M’ECRIRE A L’ORALE  et verser des cascade de verset vers ceux qui verrait ces vers et qui me dirait bienvenu
Oui j’ai survécu  aux 4SAISONS de ma demeure, meurtrit par l’heure ou ce leurre permanent m’as envahit  pour que je meure, mais tu vois  ce n’est rien je suis revenu.
En fait,  depuis ce temps j’ai  cherché au prix de mille milliers de céphalées à travers ces mont et vallées.
Prisonnier de la  société j’ai été examiné et sur les pentes glissante de mes vers limés je n’ai malheureusement pu dévalées
J’ai donc souffert de cette absence, de cette présence qui éteint toutes mes errances et les consume
J’ai du me résoudre à éteindre ma flamme pendant ce  temps  au risque qu’elle  ne se  rallume qu’à  titre  posthume
Mais aujourd’hui je suis heureux car ma plume  devenu couleur MATHS a retrouvé des couleurs
Véritable arc en ciel il remplit mes veines vides de cette encre couleur vermeille symbole pour moi de bonheur
J’ai retrouvé je l’admets un peu de cette folie qui éveille  et réveille sans arrêt mes sens
J’ai une  fois de plus livré mon âme à mes lettres sans regret pour qu’ensemble nous allions toujours dans le même sens.
C’est pourquoi moi  je vis  ma passion comme UN VOYAGE EN TRAIN, que j’espère ne jamais terminer
Parce que secrètement je voudrais que mes vers prospèrent comme l’histoire de PERES ET DES MERES qui a si longtemps perdurés
C’est pour cela qu’avant de fouler à nouveau la terre de mes lettres, j’ai décidé de versé une  cascade de verset vers ceux qui me verrait et me  reconnaitrait   au travers de ces vers et qui me dirait bienvenu
Leur dire que j’ai survécu à la douleur de rester loin de ma demeure, meurtrit en toute heure par les heures et les leurre de cette vie de malheur pour qu’il sache que malgré tout avec ardeur  j’ai survécu et que  je suis bel et bien  revenu.