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on évita le drame, alors on s'autoproclame
ainsi on déclame, la vie est une farce
que l'on assaisonne avec un piment quotidien
ce petit plus entre comparses
il faisait un temps mi fugue mi déroute
les toits blanchis par des flocons
que l'on devinait d'un regard acéré
quand gèlent les gouttières des maisons
ce fut a ce moment que l'accolade
s'invita en tant que marchande de bonheur
l'envie est une chose, le désir bien réel
l'aube naissante efface les peurs
chaque jour nouveau a besoin de croire
d'imaginer le pourquoi du commun
car l'aventure ne doit point être banale
même les rires font des emprunts
on évita les superlatifs, alors on rase gratis
ainsi le bénéfice, d'une vie d'amour
que l'on construit avec obstination
ce petit plus de notre parcours
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"chaque jour nouveau a besoin de croire
d'imaginer le pourquoi du commun"
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Je ne vais pas éviter de te dire que je suis perturbée par ton utilisation des différents temps. Une raison que je n'aurais pas comprise?
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merci a vous trois
maya voila les deux versions
on évita
on évita le drame, alors on s'autoproclama
ainsi on déclama, la vie est une farce
que l'on assaisonna avec un piment quotidien
ce petit plus entre comparses
il faisait un temps mi fugue mi déroute
les toits blanchis par des flocons
que l'on devinait d'un regard acéré
quand gelaient les gouttières des maisons
chaque jour nouveau a besoin de croire
d'imaginer le pourquoi du commun
car l'aventure ne doit point être banale
même les rires font des emprunts
on évita les superlatifs, alors on rasa gratis
ainsi le bénéfice, d'une vie d'amour
que l'on construisit avec obstination
ce petit plus de notre parcours
on évite le drame, alors on s'autoproclame
ainsi on déclame, la vie est une farce
que l'on assaisonne avec un piment quotidien
ce petit plus entre comparses
il fait un temps mi fugue mi déroute
les toits blanchis par des flocons
que l'on devine d'un regard acéré
quand gèlent les gouttières des maisons
ce fut a ce moment que l'accolade
s'invite en tant que marchande de bonheur
l'envie est une chose, le désir bien réel
l'aube naissante efface les peurs
chaque jour nouveau a besoin de croire
d'imaginer le pourquoi du commun
car l'aventure ne doit point être banale
même les rires font des emprunts
on évite les superlatifs, alors on rase gratis
ainsi le bénéfice, d'une vie d'amour
que l'on construit avec obstination
ce petit plus de notre parcours
Dernière modification par nouga (02-02-2019 13:41:32)
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on évita Péron
l'Argentine argentique
les clichés et autres balivernes
on commanda dans la taverne
des bocks de bières
avant la mise en bière
rien ne sert de courir
le futur incertain
derrière la vitre sans tain
on voyait les corps
corps a corps
on essaya en vain
le vin ce nectar
trad dans la nuit
on sombra
les rêves sont éphémères
l'audace passagère
on prit le dernier train
d'une gare isolée
ou l'attente a des airs de solitude
nulle certitudes
dans nos contrées
on espéra le temps d'un baiser
l'amour ce bandit des grands chemins
maintes fois on remit sur l'ouvrage
son cœur à marrée basse
Dernière modification par nouga (03-02-2019 13:20:39)
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Joli!!!
Merci Nouga pour l'attention!
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"on prit le dernier train
d'une gare isolée"
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"La machine" nouga est repartie !!
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merci sylvie
on évite mais tout va vite
a qui profite, l'éclair au chocolat
le la du chef d'orchestre
les êtres sont grégaires,
alors on évite, le scénario course poursuite
car le mythe ,souvent plébiscite
on évite ensuite
de prendre son mal en patience
tout va si vite dans nos sociétés bourrées d'artifices
ou la vérité se doit d'être écrite
tant les paroles s'envolent
dés potron-minet me dis le gars qui gravite
a l'aurore des peurs de l'humanité
ainsi de charybde en scylla
la cruche se brise , c'est l'effet qui cogite
alors que les faits, eux, s'abritent
entre la revendication et la contrainte
qui lévite parfois
dixit le derviche tourneur en transes
les jours d'absence
évite donc la fin
quand elle se veut
un frein à la réussite
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et le derviche qui lévite ou gravite, il l'est vite, en transe .
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il s'invite aussi
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Extra! Dès potron-minet je suis ravie.
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on évita les petits rats faute de tutus sans dessus dessous
de l'opéra on chanta Tosca, tous vêtus de salopette
puis d'Etretat on imita la mouette quand elle est rieuse
on arriva ensuite à Aubenas , l'avenir est conquête
sus aux créances a l'abstinence, mais pas la clairette
Ardéchois jamais aux abois, ni au garde-à -vous
dans ce pays de cocagne dont le patois fais foi
on causa caillette puis picodon et châtaignes
et des marrons qu'on distribuât comme des beignes
on évita le combat de trop on prit d'assaut le Myro
ne jamais se laisser abattre telle était la devise
car coeur fidèle de Privas jusqu'au Vivarais
on évita les grincheux, les malentendus,
pour ne se rappeler que des vogues à Vogué
puis on finit à la grotte Chauvet berceau de l'humanité
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J'adore, ça me fait penser au copain de ma fille, ardéchois malheureux meme d'aller jusqu'en Drôme, et qui reconnait la ferme d'où vient le picodon qu'on est en train de lui faire manger
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Et l'on n'évite pas de sourire à toutes ces fines trouvailles.
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on n'évite pas a mon age de rendre hommage
c'est un gage de reconnaissance
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on évite comme on invite, en fonction de ses opinions
les contraintes nous fragilisent, alors on effeuille la marguerite
on se spécialise dans le facile, ainsi on a raison
perdre la face sensibilise, quand le comment périclite
on se protège derrière des artifices, des bouts de ficelle
en extrapolant sur les failles implicites du champ de vision
et de ritournelles en ritournelles on vend ses séquelles
marchand de nos illusions, on se félicite des approbations
en domptant le quotidien à grands coups d'ironie perpétuelle
carapace parasite de nos pensées factuelles
on évite, on s'abrite, avec la foi en paravent, armure abstraite
de nos décisions, car de trop d'étincelles on craint la répétition
tout, sauf cette pression cette course poursuite
exister est une épreuve, on y participe en gestuelle
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Et la gestuelle fait mouche.
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Un bel hommage à ce département qui a l'air si beau ! Je pense à Ferrat à chaque fois qu'on m'en parle, il faudra bien que j'y aille un jour.
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merci sylvie
effectivement l'Ardèche est un département très beau
si t'as l'occasion vas'y
biz
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Oui, c'est très beau l'Ardèche
On évita la dévitalisation
Du forum avec des textes
Non évidés, quelle évidence
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On l'évita l'art dèche !
La vitale inspiration,
Sèche sous les lampions,
Véritable pain bêche.
on effeuille marguerite de ses artifices
le doute m'habite au sujet de ses orifices,
la ficelle est un peu grosse à ce sujet,
l'étincelle explose un gros pet !
ça pourrait être un camouloxon à la nouga. Continue mon gars !
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Nicole , tout renait de ces cendres il suffit de souffler sur les braises
Daniel, sais tu qu'avant d'être region touristique l'Ardèche était considerer comme miséreuse donc dans la dèche , l'essor est venu des Hollandais dans les années 60 qui ont racheté a tour de bras des lopins de terre des vielles magnaneries, des ruines ect, alors le commerce bien inspiré a fait le reste
merci a vous
on évita l'amalgame, veritable lame de fond
au fond rien ne vaut le naturel
bio à ses entrées, ses marchés
chez les gens un peu plus aisés
on évita la pente savonneuse et glissante
trop de calomnies nuisent et nous enlisent
place à l'échange, aux propos réconfortants
en ces temps de crise, ou l'attente des cerises
nous donnent le rouge au visage
passons enfin a autre chose, mais sans oublier l'essentiel
a chacun son ciel bleu , l'égalité serait chance
la fraternité une evidence
la liberté la foi en l'espérance
Dernière modification par nouga (21-02-2019 10:12:23)
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Manger bio qu'ils disent,
Grève des achats face à la bise,
Marrants tous ces bobo,
Rien dans les frigo
Pour le pauvre prolo,
Dur d'être écolo.
Reste la solidarité,
Pouvoir encore résister.
On évita la déprime,
Face à tous ces crimes.
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on évite , par précaution, on a retenu la leçon
le son de la voix quand son écho renvoie au n'importe quoi
quoi de plus déroutant, quand la foi crée l'illusion
on croit que, et puis la réalité dépasse la fiction
chaque jour de plus apporte son lot de révélations
on respire des effluves d'un quotidien
ou la force est argument et la manipulation l'octroie.
on évite, par principe, par peur de la vérité
le danger vient de l'isolement, alors on se ment
par nécessité, afin d'éviter l'effet miroir
celui qui nous entraîne lentement dans le noir
cet autre ailleurs, ce devenir, ou rien n'est plus pareil
ou la perception est émoi, l'odeur une chimère
le stress des mères un ressac journalier.
on évite, par intuition, l'expérience dicte
le choix des options, la liste des erreurs
le poids de la soumission, la sensation majeure
de supporter l'ennui, de s'accommoder des heures
de sombrer vers l'inconnu, l'envers du décor
corps exposé, corps jeté en pâture
il se murmure des attentes, la vie encore et encore
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On évite l'après, tant qu'on reste du côté de la vie encore
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on évite parfois l'instant alors que c'est le present
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