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A la demande générale de la nounou (lol!) un deuxième volume de ma compil.
Tous égaux
Mon Grand-père est venu pour travailler dans ce Pays
mon Grand-père a quitté la tyrannie
Quelques soient nos origines
Africaines Européennes
Ou Asiatiques notre Histoire est (presque) la même
Pourquoi
Nos Aïeuls ont-ils décider de partir
Pas pour le Plaisir
Pour ne pas mourir
Pour échapper a Benito, aux fanatiques, à Salazar
Ritals, Reubeus Portos ont à chacun notre histoire
Certains sont Blancs d’autres noirs
Mais les Français pour la plupart tu le sais
Sont des enfants d’immigrés
Nous sommes tous des enfants d’immigrés
Première, Deuxième ou troisième génération
Alors faut pas déconner
tous égaux, Blancs, Noirs, Marrons
L’Europe quelle importance
Quelle escroquerie quant j’y pense
Il y à trente ans ma mère
Etait « l’étrangère »
Sans papiers d’identité
Pendant quinze ans elle est restée
Nous sommes tous des enfants d’immigrés
Première, deuxième, troisième génération
Alors faut pas déconner
Tous égaux, Blancs, Noirs, Marrons
Je dédis ce texte a mes cousins Miguel Cohellho
Ma famille maternelle
Tout le monde il est beau
Même si la vie n’est pas toujours belle
Nous sommes tous des enfants d’immigrés
Première, deuxième, troisième génération
Alors faut pas déconner
Tous égaux, Blancs, Noirs, Marrons
L'inspiration
Qui m’a donné envie d’écrire
Qui m’a donné envie de construire
Cet univers qui est le mien
Peut-être une vie de chien
Peut-être
Le fait d’avoir traîné mes guêtres
Dans cette vie en cherchant ma place
Peut-être les crasses
D’une vie parfois dégelasse
Une vie
Qui connue aussi
Des moments de joie mais la joie hélas
Ne m’inspire pas
mais alors qui ; qui m’a inspirée
Mes textes qui ; qui me les a soufflés
Peut-être le lycée
Ou de ma classe
J’était le dernier
Pourtant le temps passe
Il continu à filer
Et le monde qui m’enlace
Continu à m’inspirer
Mais alors qui ; qui m’a inspiré
Mes textes qui ; qui me les a soufflés
Je traîne toujours mes guêtres
Je traîne toujours mon être
Je cherche encore ma place
Puis le temps et ses traces
Jamais ne s’effacent
Peut-être qu’avec tout cela
mon esprit s’amuse
ou peut-être qu’en moi
vient parfois
s’introduire une muse
Mais alors qui ; qui m’a inspiré
Mes textes qui ; qui me les a soufflés
Vincent Delerme
J’aurais pu être un bobo
Qui se lamente sur ses bobos
Qui pleure sur la mort de son chien
Qui se fout bien des somaliens
Qui a vraiment des grand malheurs
Qui vous chante ses peine de cœurs
Qui dit qu’il va s’ouvrire les veines
J’aurais pu être Vincent Delerme
J’aurais pu me lamenter passer mon temps a larmoyer
De moi de moi toujours parler
Et de ma voisine de pallier
Mes beaux-parents et mes impôts
Du fait que je ne suis pas beau
J’aurais pu avoir des problèmes
J’aurais pu être Vincent Delerme
Si j’avais eu des parents artistes
J’aurais su faire semblant d’être triste
Si j’avais grandi
Dans un quartier de Paris
Un peu chic mais pas trop quand même
J’aurais été Vincent Delerme
Residenté del Mundo
No soy de acqui
pero tengo papel
no soy de tu pays
pero no quebra la lei
soy residente del mundo
soy bianco, soy negro
soy Zidane Ronaldo y figo
soy tu hermano
soy como tu François Kamel o Nuno
sans titre
De la routine je voulais sortir
On m’a dit « tu peux courir »
Et même « tu peux mourir »
Mourir n’est rien de plus que dormir
Rêver peut-être
Et de tout mon être
Je voulais sortir de ma bulle
Comme quelqu’un qu’on manipule
Tirer mon épingle du jeu
Vivre mieux
Mais comment faire
Pour qu’on m’écoute dans cette enfer
Y’a le slam
Le slam le slam le sam
Heureusement qu’il y’a le slam
Mon cerveau crépite
Comme un bâton de dynamite
Le film qui défile
Dans mon esprit est bien triste
Tout c’qui m’entoure me court-circuite
Heureusement qu’il y a le Slam
Le Slam le Slam le Slam
Heureusement qu’il y a le Slam
Je suis un adolescent
De bientôt vingt-six ans
Rien n’a bougé depuis l’école
Ma vie entière est une heure de colle
Non, rien n’a changé
Ou plutôt moi j’ai évoluée
Mais ma vie
Ne m’a pas suivie
Ai-je envie de la quitter ?
Parfois ça m’arrive c’est vrais
Heureusement qu’il y a le Slam
Le Slam le Slam le Slam
Heuresement qu’il y a le Slam
Salut amical
Un salut amical
à Don Quichotte et au DAL
à ceux qui ont la dalle
et qui meurent sur nos dalles
on peux pas toujours leur donner dix balles
mais une pensée pour eux te dire que j'ai mal
c'est un discours banal
pas très original
mais c'est pas d'la démago ni une leçon d'moral
ça j'men fout pas mal
c'est juste un salut amical
Humeure printanière
Ecrire ça m'amuse
mais je cherche ma muse
le printemps ça abuse
ça me rend d'humeur romantique
un cœur en panique
pas du genre "faut que je n..."
non non non
juste en demande d'affection
Dernière modification par monsieur s (20-05-2008 17:54:37)
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monsieur s a écrit:
A la demande générale de la nounou (lol!)
merci!!!!
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merci , monsieur s. ! trés beaux textes ( la nounou a eut une excellente idée de te les demander )
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