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Jeudi et Dimanche.
Il faut du bois pour la cheminée
Un peu d’aube sur le coin des yeux
Elle a comme tu dis vieux, comme tu dis
La force des oiseaux blancs du Mystère.
Et tiens dis-moi serons-nous des voitures sans roues,
Dans le théâtre des comètes en dansant comme des fous ?
C’est l’odeur de l’essence, qui me dérange,
Mais Dieu, merci je n’ai pas le permis de conduire.
Disons un mot ou peu sur les marches funestes
C’est que j’y aperçois l’amour des femmes aux yeux profonds
Disons j’ai mal que ces processions se perdent à pleurer,
Sans jamais vraiment en y voir un trait, un sourire.
Elle est l’Humanité. Et je la crois rêne ou cheval, âne,
Je suis quelqu’un d’extrêmement maladroit,
Et elle me pousse à gauche et ça me rend heureux, bien.
Jeudi et Dimanche, c’est des potes aux auxiliaires de vie,
Elle, elle passe son temps à démêler mes plumes et poésies,
Le grand, l’autre, l’idiot bonheur, il me glisse un peu de joli
Aux peines. Et ce n’est pas bien méchant à vivre,
De dormir que le Jeudi, de dormir jusqu’au Dimanche
Et d’écrire de la belle beauté pour faire des sourires aux autres vies.
MoonZ
ps : saviez-vous que l'esperluette le (&) signifie espère être lu.
bonne journée.
bien vu ami poète
v'là un dimanche qui commence bien
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C'est beau comme tout.
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C'est très beau, et le dernier vers est magnifique, les autres vies sourient.
A bientot, Ã un autre dimanche que je te souhaite bon
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Joli mot, "esperluette". Tu es toujours lu.
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Très joli oui, j'aime beaucoup :"Je suis quelqu’un d’extrêmement maladroit,
Et elle me pousse à gauche"
je connaissais pas "esperluette"
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