Forum Grand Corps Malade et slam

description sans faille du moulin nourricier d'une époque révolue certes mais présente à notre mémoire
bravo maya

Nouga, belle analyse!
Nicole, non pas la comptine "Tourne, tourne petit moulin" mais un tas d'autres. Si bien que Gabriel fredonne d'une manière impressionnante depuis ces 1an1/2. Sinon, la comptine en question m'a inconsciemment inspiré le premier vers. C'est toi qui me l'as fait remarquer.

Dernière modification par Maya (24-01-2018 23:51:02)

Joli! Ça me rappelle une comptine "Un petit caillou sur le chemin" que nous chantions après les rencontres sportives rassemblant 5 à 6 classes de maternelle en une grande ronde.

je ne connais pas ta comptine, Maya, je vais chercher sur le net si elle y est

Il ne manque pas un verbe?

"notre destin sera synonyme
que notre passage sur cette terre vestige
de la survie humaine de ses hymnes"
C'est que je ne connais pas "vestige" comme verbe. Il me semble qu'il faudrait ajouter un verbe avant, à ton bon goût.

Dans les parties communes des vestiges de la maison, il y a un passage un peu secret, qui n'est plus emprunté car peut etre oublié: Il faut tendre le cou pour le deviner quand on est dans l'escalier de la cave. Peut être est-ce une chance de survie que le bâtisseur de la maison avait voulu, une échappatoire en cas de guerre, ou de mauvais coup du destin.

tordant le cou aux secrets d'une maison hantée de la cave au grenier
j'empruntais l'escalier, du coup je m'élevais.
Arrivé à la charpente, je soulevais une tuile, qui se révéla être celle d'un toit en mauvais état. Voyant cela je compris par ou les fantômes étaient  passés, je me mis aux aguets, l'Å“il fixé sur la ligne imaginaire, qui délimite la naiveté de la farce.
Le temps passa, ne voyant rien venir, je redescendais, prêt a m'en aller, mais au dernier moment, un rire sarcastique tonna si fort, que je me dis en mon fort intérieur, et si!!
Pourtant vous me connaissez je ne suis pas du genre à être impressionné, (ayant fait mai 68 à la plage)
je sortais en catimini, et derrière un arbre de la propriété je m'installais pour la nuit.
Vers minuit pile la musique de Ghostbusters enveloppa le lieu.
Depuis j'ai arrêté de picoler, ayant compris qu'il tournait la version énième de ce film à succès
je me suis fais même un ami, le" fantôme" de mes nuits

Dernière modification par nouga (30-01-2018 11:22:32)

la secte de sarcastiques à encore frappé

dire l'essentiel en peu de mots, voila un rodéo
voir les bruits de couloir est-ce réel
l'idée en nous germe d'être l'alter ego
de tous les gens dans la tour de Babel

le vrai du faux est un labyrinthe

Je me souviens de ce film "le Labyrinthe de Pan" .. Enfin pas exactement de toute l'histoire, mais que je l'avais beaucoup aimé. En y réfléchissant, une petite mémoire permet d'avoir le plaisir de redécouvrir des films ou des livres avec un plaisir intact.
Je me souviens aussi, des couloirs oppressants de Shining, du sang qui devenait réel pour le garçon, de la folie qui germait dans le cerveau du père.
Je me souviens des western de John Ford, des rodéos sur des chevaux sauvages, des indiens, des coups de feu..
De la tour du château de Fanfan la tulipe, de Noel Roquevert que mon père aimait tant...

Ce feu dans tes yeux, qui me cloue sur place,
Ce regard sauvage, possessif et vorace,
Est-ce une illusion, une invention de mon cerveau ?
Ce plaisir dans tes bras, dont je garde la mémoire
Ces frissons sans fin, cet abandon bien trop beau,
Tout cela est-il vraiment le reflet notre histoire ?

la réponse de Nouga

Bien les filles!!!
Nicole, tu sais nous remettre dans l'ambiance.
Nouga