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Mon sucre d'orge,
Je prends ton bâton de pèlerin, à pleines mains
Tandis que les tiennes m'émoustillent de tendresse.
Les Yeux dans les Yeux, nous labourons la terre de notre semence.
Des perles de sueur s'évaporent, nos fragrances s'enivrent,
Et nos ouIes captent nos râles.
De Bonne Heure, notre Amour a fait le plein à la pompe,
Et nous prenons la clef des champs, nos jambes à nos cous
Pour vivre pleinement cette parade amoureuse.
Qui a parlé de pénurie des sens ? !
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Du pur ....jus, lamalice
En quelques mots bien sentis, tu sais mettre nos e- sens en émoi...
De très très z-affectueux poutoux z-à toi et aux tiens de nous Neuf, Brestoises Solitaires
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C'est la cas de le dire.... du pur jus d'amour d'avec mon Homme ... !!!
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sans prendre de gants
pour abonder dans le bon sens
et en percer le sens
faut-il cent ans de solitudes
ou cent ans d'un siècle
sans confusions, sans états d'âme
salut l'ami
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+1
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Des mots sans cible qui tire à défaut, de dire le sensible sucré de tes mots
Bon retour ici!
et non, pas de pénurie des sens
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Bonjour Lamalice,
Tu as repris la plume.
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Beau texte
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