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Ici, nous avons réunis en ces pages,
Les contes légendaires du peuple Pancéen.
Je suis Oclave Dallier,
scribe de la troisième chambre
du haut-livre de Salabelle.
Dans le soir profond au de-là de toutes les terres
Dans le plus grand secret des Abysses
De notre glorieuse citadelle de la sapience,
Où nous éludons bien des défis d’une science perdue
Dans les théorèmes de l’exactitude et de la Beauté.
C’est notre œuvre promise aux derniers des nôtres oubliés
Dans la bestialité de cette époque mutilée par l’amour des sommets.
Nous sommes le Zodiaque du Dessous,
L’ultime bataille à venir n’est pas dans les cendres
Ni dans les foudres des champs où erreront sans fin des victoires
Comme des fantômes déchus dans la mort dormante.
Notre révolution est dans l’âme dans le devoir de rendre à la lumière
Les notes silencieuses d’une symphonie jamais contestée.
Nous n’apportons pas le Chaos. Nous rendons compte de notre existence,
Car en ces nuits de déroutes, et ces aubes d’amères festins,
Je dois faire ce pour quoi nous sommes sens, vérité, entier et partie de l’ensemble.
Nous n’aurons de trophée pour divin et de promesses pour caresses,
Car tout est né de la terre sinueuse et douloureuse,
bonne mère bergère du champ des pierres qui rêvent.
Sur la pente douce, d'une hanche accrochée à la terre
Je rêvais me rouler dans les fleuve d'un verre d'eau espiègle
Roulant sur ces côtes frissonnantes, et suivant le cours d'eau
Là, Au fil de mon errance romantique je me perdais dans les seins
Formés par deux bosquets fleurit de mûres encore jeune
Parce qu'aimer est un voyage à faire à deux; Je voudrais
J'imagine bâtir un empire de la Vie et de l'espoir;
Au de-là des Argonautes immenses, qui protègent la mère sacrée,
D'un âge d'or fabuleux, où les elfes et les fées dansent
Sous les regards heureux, d'un autre que moi partageant le miel
D'une vie de labeur, et d'amour sincère pour les murs dressés.
Eux, sont pour les uns invariable et interminable pour les autres,
nous sommes Par de là le muret, dansant dans l'ivresse blondes
nuancées du dôme; traversant des espace furieux
et des plaines paisible en bradissant fièrement
"La bannière du micro d'argent",
nous sommes cette énergie
Parce qu'en nous courent des forces qui nous unissent
Depuis le ressac millénaire de l’océan de l’éternité,
aux portes des grandes cités de Lanternes et d’Espérances.
MoonZ, 2016.
en tant que "zodiaque", mon canot gonflable vole au dessus des flots, laissant derrière lui la houle, pour attraper l'horizon et dompter ainsi toutes rebellions.
mon armée de vagues jouent les prolongations, faisant place nette dans ce décor océanique, et mon physique exprime la satisfaction d'avoir vaincu les maux des humains enfin libres d'aimer
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J'aime quand tu crées des mondes de légende, plein d'êtres extraordinaires... ça bruisse
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on part en voyage c'est très sympa !
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Tout à fait d'accord avec vous Nicole, Cline, ChloéM et Itess
Moonz, quelle imagination....
Dans ces vers, tu résumes tout
" Notre révolution est dans l'âme, dans le devoir de rendre à la lumière
les notes silencieuses d'une symphonie jamais contestée "
Toi, sans conteste, tu nous as composé une bien belle....symphonie... d'images et de mots...
Tu sais nous " transporter " ( J'aimerais trouver un mot plus... poétique) dans des mondes fabuleux.
De très très z-affectueux poutoux z- à toi et aux tiens de mes neuf moi...
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Oui, une imagination débridée, qui se renouvelle ici.
"Notre révolution est dans l’âme dans le devoir de rendre à la lumière
Les notes silencieuses d’une symphonie jamais contestée."
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merci, étonnant, mais merci.
Pourquoi étonnant?
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j'ai essayé de raconter ce texte à des potes et j'ai retenu seulement cette phrase pour le décrire,
éclairer les notes silencieuses d'une Symphonie jamais contestée. Alors soit je devrais jouer à la loterie, soit être ensemble même sur un forum, c'est bin, étonnant, mais bin.